Journal d'une jeune fille au pair - PARTIE 2 - Ébauche
Datte: 12/03/2021,
Catégories:
f,
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fplusag,
jeunes,
hépilé,
fépilée,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
journal,
totalsexe,
... culotte ! Je l’avais déjà complètement oublié. En plus, ma jupe est plus courte maintenant, il va quand même falloir que je fasse un peu attention à cela et que je ne m’accroupisse pas n’importe comment. Heureusement, quand je suis face au rayon, personne ne peut voir mon entrejambe, il me suffit donc de bien choisir ma position pour être tranquille. Du coup, je recommence au rayon suivant. L’air frais caresse à nouveau mon intimité, je crois bien que je commence à y prendre goût. Le désir monte en moi. Le rayon suivant est désert, j’en profite pour me caresser les seins et me pincer les tétons à travers le tissu de mon chemisier. Je sens que je vais jouir sur place si je continue ainsi. Encore un article à prendre sur l’étagère du bas. Je m’accroupis, jambes écartées, il n’y a toujours personne. La tentation est trop grande, je porte ma main sur mon sexe et je l’effleure du bout des doigts, il est tout humide à cause de mon l’excitation. Je ne peux pas aller plus loin, je me sens déjà au bord de la jouissance. À chacun de mes pas, les lèvres de mon sexe glissent l’une contre l’autre augmentant progressivement mon excitation, je n’avais jamais ressenti une telle sensation lorsque je portais une culotte. Je ne peux pas rester ainsi, je dois me libérer du désir qui m’envahit de plus en plus. Je me souviens d’avoir vu une cabine d’essayage au rayon des vêtements. Je m’y rends sans plus attendre. À peine à l’intérieur, je m’accroupis et m’introduis deux doigts, ceci a pour ...
... l’effet de déclencher une jouissance immédiate. Je peine à étouffer mes gémissements de plaisir. Ma jouissance soudaine et brutale m’aura fait copieusement mouiller, mon mouchoir suffit à peine à absorber le jus qui s’écoule de mon sexe et qui s’est aussi écoulé sur le parquet de la cabine. Je ressorts chancelante, heureusement qu’il n’y a personne aux environs. Je termine mes courses dans un état de semi-conscience, encore portée par ma jouissance passée. Je ne pensais pas qu’il était possible que je puisse jouir aussi vite et aussi fort, et cela juste parce que je ne porte pas de sous-vêtements dans un lieu public. De retour vers la maison, je suis d’humeur guillerette. Je me sens mieux. Je ne fais même plus attention à ma veste qui ne peut pas se refermer. Je passe près d’un parc, il n’y a personne, le désir monte à nouveau en moi. J’entre et m’assieds sur un des bancs, cuisses écartées. Je recommence à me masturber. La jouissance monte à nouveau très vite et très fort. Cette fois-ci, c’est ma jupette qui fait les frais de mon plaisir, de toute façon mon mouchoir est trop mouillé. Ravie, je rentre à la maison la chatte encore mouillée, je sens la fraîcheur du vent sur mon entrejambe, mon jus intime s’écoulant lentement sur mes cuisses au rythme de mes pas. Je viens de repousser un peu plus mes limites, pour mon plus grand plaisir, et ceci grâce à mes patrons. Je repense à mon expérience pénible de lundi. J’ai de plus en plus la conviction que je ne supporte plus de porter des ...