Journal d'une jeune fille au pair - PARTIE 2 - Ébauche
Datte: 12/03/2021,
Catégories:
f,
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hplusag,
fplusag,
jeunes,
hépilé,
fépilée,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
journal,
totalsexe,
... sous-vêtements. Ces quelques jours en tenue de soubrette auront définitivement bousculé mes habitudes en me faisant découvrir de nouvelles perspectives réellement excitantes. 11 ~ Fin de semaine Jeudi soir pendant le repas, je suis à nouveau l’objet d’attouchements. Mais cette fois-ci, c’est Inès qui me touche les fesses. Elle se permet même de m’introduire deux doigts dans la fente, tout comme la veille dans mon lit, mais cette fois-ci, elle le fait sous les yeux de son mari, qui nous observe avec le plus vif intérêt et semble manifestement apprécier la scène. Cette situation perverse m’excite aussi et je ne peux réprimer un léger gémissement de plaisir tandis qu’elle retire ses doigts progressivement. Quelques minutes plus tard, Patrick ose à son tour m’introduire deux doigts dans la fente. Un frisson me parcourt et je gémis à nouveau tout en regardant sa femme. Sa main est sous la table, je parierais qu’elle est en train, elle aussi, de s’introduire des doigts tout en nous regardant. Vendredi soir, j’attends avec impatience durant tout le repas de me faire peloter par mes patrons, mais rien. J’ai l’impression qu’ils sont indifférents à moi. Pourtant, je fais tout ce que je peux pour attirer leur attention. Avant de servir le dessert, je me passe même un glaçon sur les tétons pour les faire durcir au maximum. Lorsque j’amène le plateau de fruits sur la table le tissu de mon chemiser est tendu tant mes tétons pointent avec ardeur, mais ils semblent y être indifférents. Je ...
... suis très déçue, j’en arrive même à me demander ce que j’ai bien pu faire pour mériter cela. Le repas est terminé, je suis en train de débarrasser la table lorsque je sens deux mains se poser sur mes épaules. Elles descendent jusqu’à mes coudes, font le tour de mon corps et remontent vers mes seins. Je tourne la tête et vois Inès à quelques mètres de moi, en train de m’observer, j’en déduis donc que c’est mon patron qui est en train de me tripoter. Je me laisse faire et m’abandonne à ses caresses, trop contente d’être à nouveau l’objet de leur attention. Tandis qu’il me palpe les seins, il joue avec mes tétons pour les faire durcir et se permet un commentaire. — Tes seins sont beaux. Ta poitrine est aussi ferme que celle de ma femme. Celle qui continue à nous regarder avec un vif intérêt acquiesce. — C’est vrai. Et pourtant je ne porte jamais de soutien-gorge. Je n’en portais déjà plus quand j’avais ton âge. Nous avons la chance de ne pas avoir à en porter car nous avons des petites poitrines. Certaines pourraient en être complexées, mais moi j’y ai toujours vu l’avantage de ne pas avoir à m’encombrer d’un soutif. Inès s’approche de moi tandis que son mari desserre son étreinte. Elle se place face à moi et se met, elle aussi, à me palper la poitrine tout en m’embrassant. Elle m’entraîne alors vers le salon et nous nous déshabillons avant de nous allonger côte à côte en position de 69. Comme mardi, je prends un grand plaisir à lécher la vulve toute douce de ma patronne, mais ...