L’agonie
Datte: 30/10/2017,
Catégories:
ffh,
fhhh,
fbi,
hsoumis,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
Enguerrand, seigneur féodal violent et impitoyable, alors qu’il met à sac un village, tombe sous la charme d’une de ses victimes. Mais cette jeune femme, bien que lui entr’ouvrant l’accès à son intimité, reste distante et se refuse à lui. Les semaines avaient passé sans que ma prisonnière n’ait daigné me témoigner un quelconque respect. Elle ne se rendrait pas, jamais. J’en avais la certitude et je l’acceptais. Cependant, elle ne cherchait pas non plus à éviter ma présence. Elle faisait partie de ma vie. Mes hommes s’étaient habitués à la voir en permanence à mes côtés. La nuit, je l’avais à maintes reprises observée se livrant à son plaisir. Elle savait que je la regardais. Elle savait que je prenais mon plaisir. Mais notre intimité s’arrêtait là. Alors que j’aurais dû la forcer, je n’y arrivais pas. L’idée même ne me venait pas. Elle s’appelait Suphitia. Au moins pouvais-je la nommer. Le printemps arriva. Mes serfs se remirent au travail sur leurs parcelles. Le domaine revivait. Les forêts avaient reverdi. Les hommes se réveillaient et les corps avaient besoin d’exercice. J’étais excité et impatient de revivre les chevauchées. Je l’avais laissée s’exercer cet hiver. Mon écuyer lui avait appris. Je l’avais sentie heureuse le jour où elle avait commencé. J’observais à la dérobée. J’avais vu comment, avec lui, il lui arrivait de sourire, de rire même. Le jeune homme était bien fait, solide et bon combattant. Je savais que mes servantes bénéficiaient parfois de sa vigueur. Nous ...
... avions tous été surpris de la voir monter comme un homme. Ce n’était pas correct, mais cela faisait naître en moi des pensées bien excitantes. Je l’imaginais chevauchant nue. Je rêvais de ses cuisses ouvertes, de son entrejambe m’apparaissant. Un jour, je décidai d’aller visiter les villages sur mes terres. J’avais laissé trop d’initiative à mes régisseurs et certains métayers s’étaient plaints. Je devais reprendre les choses en main. Je devais partir le lendemain matin. J’étais couché, elle aussi. — Viendrez-vous avec moi ? demandai-je.— Si vous me le demandez, je viendrai.— Parfait, nous passerons dans votre village et vous pourrez voir votre famille. Je réglerai quelques problèmes d’intendance pendant ce temps.— Très bien. La petite troupe s’ébranla donc de bon matin. Elle chevauchait à mes côtés, comme si elle avait été mon épouse. Trois chevaliers nous accompagnaient. Les fidèles. Après une journée de voyage, nous arrivâmes en vue du village. Nous entrâmes. Les habitants me témoignèrent le respect dû à mon rang de maître. Ils avaient surtout peur que je ne revienne sur la clémence dont j’avais fait preuve. Le régisseur que j’avais installé m’accueillit avec déférence. Je logeai dans sa demeure. Je lui indiquai d’installer une couche pour elle dans ma chambre, et le priai de ne pas m’importuner et de faire préparer un bon dîner pour mes chevaliers et ma Dame. Dans la salle nous bûmes et mangeâmes. L’humeur était joyeuse, les servantes jolies, et mes chevaliers ivres. Ces ...