1. L’agonie


    Datte: 30/10/2017, Catégories: ffh, fhhh, fbi, hsoumis, Oral pénétratio, Partouze / Groupe

    ... sexe de Suphitia. — Huuummm, c’est bon, dit cette dernière. Derrière, lèche-moi derrière, ma petite catin ! La servante obéit immédiatement, et sa langue pointa entre les fesses de ma Dame qui les ouvrait de ses mains. Je relevai les cuisses de la servante, sortis ma hampe de son sexe et posai mon gland gras de son jus contre son œillet. Je poussai doucement pendant qu’elle se déchaînait avec sa langue. Je pris ses reins de toute ma longueur, d’une lente poussée, jusqu’à la garde. Quelques allers-retours déclenchèrent des gémissements qui résonnaient dans la pièce. La rage amoureuse m’envahissait. Je donnais des coups de plus en plus puissants entre ses fesses faites pour l’amour. À défaut de baiser celle qui hantait mes nuits, je me défoulais sur celle qui s’offrait. Suphitia était maintenant à quatre pattes. Elle me regardait sodomiser son amante. Soudain, elle se releva devant moi et, les pieds de part et d’autre du corps que je prenais, elle écarta ses cuisses et enfonça deux doigts en elle, sous mes yeux. Elle prit son sein gauche en main et en pinça le téton sans quitter mon membre des yeux. Trois doigts coulissaient maintenant en elle. Quel bonheur de la voir si près. Les jambes fléchies, elle montait et descendait, sa belle poitrine oscillant à quelques centimètres de mon visage. Elle se baisait elle-même sur ses doigts. La blonde se mit à onduler en malaxant ses seins. Elle jouit bruyamment. Je sortis ma queue de ses reins et lâchai mon plaisir sur l’entrée de son ...
    ... sexe. Ma semence abondante coula sur ses lèvres. Je ne sus pas si elle avait joui, mais Suphitia cessa sa caresse. Elle s’écarta, s’agenouilla à côté de la servante essoufflée. Elle tendit ses doigts vers la chatte et les posa dans le mélange gras qui l’engluait. Elle recueillit le mélange et, ses yeux plantés dans les miens, goûta le fruit de mon plaisir mêlé aux sécrétions de la servante. — Monseigneur, c’est bon, j’aime ça, souffla-t-elle en reprenant de la liqueur qui coulait entre les fesses. Je n’aime pas l’amour de tout le monde, Monseigneur, mais j’aime l’amour. Peut-être m’aurez-vous un jour, pour vous. Une silhouette apparut dans la porte entrebâillée. Mon fidèle Eudes contemplait la scène, les yeux écarquillés. Trop ivre sans doute, il ne fit pas de commentaire, se tourna en grommelant qu’il allait se coucher. *** J’ai mal. Je me sens partir. Je revis ma vie, notre vie. Elle est toujours là à mes côtés. Je sens qu’elle s’occupe de moi, m’essuie le front. Que j’aime sa présence qui rend ma fin plus douce. Pourtant, elle a compliqué ma vie. Je n’ai pas eu la vie de mes nobles amis. Non. Eux n’étaient pas liés comme je l’ai été, eux vivaient en seigneurs. Leurs épouses dociles dormaient à leurs côtés. Évidemment, en campagne, ils vivaient, profitaient, loin d’elles. Suphitia m’a suivi partout. D’ailleurs, sans elle, je ne serais pas parti. Jamais je n’aurais pu chevaucher sans la sentir à mes côtés. Moi, Enguerrand, impitoyable seigneur, homme de guerre féroce, j’étais, ...
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