1. Lucie joue avec mes nerfs


    Datte: 14/03/2021, Catégories: fh, fhh, hplusag, plage, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fsodo,

    ... passage est facilité par la mouille qui s’est répandue dans sa raie depuis le début de nos joutes. Je la pistonne dans tous ses orifices, de tous mes doigts. Devant, derrière, j’alterne mes mouvements, je varie la cadence. Je la rends dingue. Elle hurle de plaisir. Je vais sans ménagement. Je la rudoie presque. Lucie est ma poupée. Je suis comme un gamin gâté qui tourmente en tous sens son jouet pour en éprouver la résistance. Mais ma poupée est solide. Son corps s’agite, tremble, s’éparpille, mais ne rompt pas. Je sens soudain ses muscles se contracter sur mes doigts. Je continue, toujours plus féroce. Je n’abdique pas. Lucie jouit de plus belle. C’est une bête en furie. Elle crie, elle pleure. Des sons rauques, bestiaux, sortent de sa gorge. Je n’ai pourtant pas fini d’abuser de la situation. Je bande toujours. Je retire mes mains. Je m’appuie sur l’arrière de ses cuisses. Je plante mon sexe dans le sien. Je pousse jusqu’à buter contre son périnée. Lucie reste perchée au sommet de sa jouissance. Ma pénétration est inattendue. Elle la surprend dans son orgasme. Mais rien ne m’arrête. Mon audace n’a plus de limite. Je la baise vigoureusement. Les bruits de nos sexes sont obscènes. Je m’enfonce toujours plus, arrachant de nouveaux râles de plaisir à ma belle. J’admire le mouvement vertical de mon membre bandé dans son puits d’amour. Je prends un pied phénoménal. Ma première jouissance m’assure maintenant une endurance sans faille. Je la baise. Je baise ma Lucie toujours ...
    ... plus fort, toujours plus loin. Je vais, je viens, longtemps, profondément, égoïste. Dans un dernier mouvement, je me retire de son vagin. Sa grotte reste complètement ouverte. Je dirige mon pieu vers son anus. J’appuie le gland d’abord avec douceur, puis le passage se détendant, je reprends rapidement un rythme plus soutenu. Lucie hoquète. Lucie rugit. L’orgasme la secoue à nouveau. Est-ce le même ou un nouveau qui la reprend ? Je ne sais pas. Je m’en fous. Je continue à l’éreinter. Sans honte, sans limite. J’ébranle tout son corps. Comment résiste-t-elle à mes assauts, à cette rudesse que je ne me connais pas ? Je suis bon pour l’asile. Mon cerveau me brûle, la folie m’envahit. Je m’empare de la bouteille sur le tapis et présente le goulot à l’entrée de son vagin. Le froid du verre ne la dérange même pas. Je pousse franchement sur le cul de la bouteille. Le sexe dilaté de Lucie avale l’objet sans peine. Je le sens contre mon pénis. Je m’en sers de godemiché. Lucie est à ma merci. Totalement offerte. Cette double inattendue et obscène la fait chavirer définitivement. Qu’elle est belle dans sa jouissance ! Les mandrins de chair et de verre entrent en elle mécaniquement. Ses chairs s’ouvrent un peu plus à chaque coup de boutoir. Le salon résonne de nos cris. La situation a enfin raison de moi. Je sens monter en moi une jouissance incroyable. Je crache de longs jets de sperme dans son cul. J’expulse mon plaisir. J’explose. Je continue frénétiquement, comme un pantin désarticulé à ...