Lucie joue avec mes nerfs
Datte: 14/03/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
plage,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fsodo,
... trois mains pour dégager l’importun tissu. Elle passe une main sur mon torse, agace mes tétons et dessine des arabesques sur ma poitrine quand de l’autre, elle reprend ses explorations inédites. Malgré sa jeunesse, elle sait exciter un homme. Dans ces moments-là, elle connaît toutes les trouvailles, les passages délicats, tous les trucs qui aiguisent les sens. Mon corps s’active à son tour. Je veux donner aussi. Je me redresse un peu plus, en appui sur un bras. Lucie me sourit, la bouche entrouverte. Ma main gauche parcourt son corps. La douceur de sa peau, son grain superbe, me surprennent à chaque fois. Je saisis son téton et commence à l’agacer. Il s’érige déjà fièrement. Son ventre se creuse pour laisser ses mains passer entre nous. Elles s’emparent de mon sexe tendu et commence une danse savante sur toute sa longueur. Les bourses sont abordées, frôlées fugitivement, puis les doigts effleurent la base de ma hampe, l’enserrent un instant, pour remonter délicatement, en suivant le contour des veines, jusqu’au gland. L’instant est divin. Je ne sais pendant ce temps que pétrir son sein, profitant égoïstement des sensations profondes qu’elle me procure. Ma belle sourit toujours, sourit encore, fière d’elle, certaine de son emprise. Elle recommence le ballet de ses mains sur mon sexe, elle semble partie pour le répéter à l’infini. Elle va me rendre chèvre. Les tempes me chauffent. Je veux reprendre la main. Je cherche à écarter sa culotte de maillot. Je n’ai plus le temps de ...
... la lui ôter. Je suis fou d’excitation. Mais Lucie reste maîtresse d’elle-même. — Doucement, mon amour. Prends le temps, ça n’en sera que meilleur… Ce n’est pas exactement ce que j’ai prévu. Du reste je n’ai rien prévu, et je ne suis plus en état de prévoir quoi que ce soit. L’envie est animale. La raison n’a rien à faire dans mon désir. Je la veux, maintenant. Je m’assois sur les talons pour me faciliter la tâche dans mon entreprise exploratoire, libérant Lucie de mon emprise. Elle en profite pour se redresser. Nous sommes à genoux maintenant, face à face. Elle a posé ses mains sur mes épaules. — Prends ton temps. Ne précipite pas tout. Laisse encore monter l’excitation. Tu parles. Je ne vois pas jusqu’où je pourrais encore monter. Mais ma belle, si. Sa bouche dépose déjà des milliers de baisers sur mon torse. Ses mains sur mes flans l’accompagnent dans une descente vertigineuse vers mon bas-ventre. Le nombril est entrepris un instant par sa langue fraîche. Bientôt, ses mains s’emparent à nouveau de mon pénis, plus raide que jamais. Elles le serrent, le branlent gentiment. La sarabande recommence sur mon sexe. Les mains descendent bas, loin sur mon périnée, puis reviennent à l’assaut de mon mandrin qui se tend un peu plus à chaque passage. Je ferme les yeux pour me concentrer.« La garce, elle va bien réussir à me faire jouir comme ça ! Je ne veux pas, je ne veux pas, je ne veux pas. Pas tout de suite en tout cas. » D’un coup, je sens sa langue remonter lentement mon sexe, ...