Lucie joue avec mes nerfs - Histoires de Sexe

Lucie joue avec mes nerfs

... bas, écarte ses grandes lèvres, s’imprègne de ses sécrétions abondantes. Je vois l’intérieur de ses cuisses qui commence à luire de sa mouille. L’index fureteur s’insinue, cherche son chemin. Je le jalouse ce doigt, je l’envie. Mais mon heure va venir, je le sais. Le majeur entre en scène à son tour. Il rejoint son compère dans la fente juteuse. Ils écartent un peu plus ses lèvres, libérant leurs petites sœurs, dévoilant l’entrée de son puits d’amour. Le majeur plus téméraire, s’y aventure d’abord avec prudence, puis plus franchement. Il en ressort brillant des jus de Lucie. La chaleur monte en moi. Des gouttes apparaissent au bout de mon sexe. Je suis tendu à l’extrême. J’ai mal tellement je bande. Lucie le sait, Lucie le voit, Lucie s’en amuse. — T’as voulu ruser, mon coco, hein ?! Tant pis pour toi ! Essaie de me rattraper maintenant… La furie est repartie en courant. Je n’ai rien vu venir. Je n’ai pas réagi. Ma main branle encore mon sexe, que la voilà déjà à dix mètres. — Et pour la peine, ramasse mes affaires, tu seras chou, lance-t-elle à bonne distance. Un grand éclat de rire termine sa phrase. Elle m’a eu. Dépité tout autant qu’amusé d’avoir été pris à mon propre jeu, je tente de rassembler mes esprits et nos affaires. Je ne réalise pas encore bien où je suis, mais pour retrouver ma direction, je sais que je n’ai qu’à suivre celle indiquée par mon sexe. Tout droit. Et rien ne sert de courir. Je ne pourrai pas de toute façon, handicapé par mon gourdin magnifique. Et ...

... Lucie doit déjà être à la maison. Je la retrouve avachie dans le canapé, face à la baie vitrée. Elle n’a même pas pris la peine de s’habiller. Elle rit encore de son tour. — Tu n’as pas couru mon chéri ? Tu aurais pu gagner, j’ai marché à la fin, considérant ton handicap…— Non, j’ai renoncé. Je suis vieux, je te rappelle. Et à mon âge, il faut se ménager. Éviter les émotions, n’est-ce pas ? Tu vois ce que je veux dire…— Pas trop, non. En même temps, il faut bien inciter les tricheurs à ne pas recommencer. Du coup, c’est toi qui as le gage !— Je crois que je l’ai déjà eu ton gage. Il y a cinq minutes, tu te souviens, ton superbe numéro sur la dune…— Ah mais non, ça ne compte pas mon p’tit père. Ça, c’était juste une ruse pour m’échapper après ta déplorable feinte !— Tu ne manques pas de toupet, toi ! Si je t’attrape, tu vas voir.— Teu teu teu, rien du tout. Il fallait me rattraper avant, mon chéri. Maintenant je vais prendre une douche pour me rincer et réfléchir à ton gage. Je t’ai servi une bière sur la table. Bois, ça te rafraîchira le corps et les idées. Par la grande baie vitrée, je contemple l’océan. Le soleil risque la noyade à tout moment. J’entends ma sirène chanter sous la douche. J’imagine les gouttes ruisseler sur son corps fin, souligner ses courbes. Je voudrais être avec elle. Mais encore une fois, elle a fait ce qu’elle a voulu, elle a été trop rapide. Je vais réellement finir par me trouver vieux. Elle revient au bout de dix minutes, fraîche et parfumée. Elle a ...