Quatre mois de loyer
Datte: 14/03/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
grosseins,
fdomine,
entreseins,
Oral
extraconj,
... je le serre entre les seins et tire vers moi, branlant spécialement son gland gonflé de plaisir. J’accentue la pression, englobant son sexe au maximum pour simuler au mieux la pénétration d’un vagin. J’accompagne mes mouvements de petits murmures pour simuler mon excitation. Il halète comme un animal blessé, comme c’est mignon ! Toute sa concentration est dirigée sur sa queue et le plaisir que je lui procure. Il est totalement à ma merci. Je ralentis, sa respiration s’adoucit, il attend la reprise de mes mouvements et ondule du bassin pour pénétrer la douceur de ma poitrine. Je poursuis ma branlette : des « haaa » rauques sortent de sa gorge, son cerveau primaire satisfait de la reprise du plaisir après ce court sevrage. J’arrête de nouveau, marque une pause, reprends, arrête… Après plusieurs «stop and go » de la sorte, j’ai peur qu’il ne se vidange sans retenue. Je vais l’achever, mais sans cruauté : le pauvre serait complètement ruiné… Je viens titiller son gland prêt à exploser en léchant le frein de celui-ci. Je fais mine de refermer mes lèvres pulpeuses sur la couronne de son gland, et m’arrête juste avant le contact. Je vais le rendre fou ! Je m’arrête, observe sa réaction. Son torse se soulève à un rythme désordonné. Il est complètement soumis à son désir de reproduction. Tout son organisme tend à l’expulsion de sa précieuse semence. Une fois dans cet état, en obtenir ce que l’on veut est d’une simplicité enfantine. Son bassin tente de pousser son gland dans ma ...
... bouche, mais je m’esquive. Une fois, deux fois. La troisième, il me supplie de le prendre en bouche, comme si sa vie en dépendait. La situation commence à m’exciter, je sens mon string humide contre mes lèvres. Je lâche alors ma dernière offre : — Ok pour quatre mois de loyer alors ? Cette fois-ci, il n’y a même pas de tentative de réponse. Ma langue tourne autour de son gland et ma bouche descend sur toute la longueur. Ses râles deviennent franchement des cris. Je fais glisser sa queue sur ma langue tandis que mes lèvres la serrent comme un vagin. Je me concentre sur son gland tandis que ma main le masturbe langoureusement. Il grossit encore dans ma bouche, je le sens venir. Sa délivrance – et la mienne – sont proches. J’aspire le bout de son sexe et le maintiens tendu juste par l’effet de succion. Ses yeux me cherchent pour voir comment je produis cette sensation délicieuse. Son regard est complètement perdu. Je plonge mes yeux avec un regard qui n’a rien à envier à la blonde platine la plus chienne du X. Je m’écarte soudainement : sa queue s’échappe de mes lèvres dans un excitant bruit de succion. La différence entre la douce pression de ma bouche et la fraîcheur de l’air libre font tomber ses dernières résistances. Je sens son orgasme se déclencher. Un fourmillement qui naît dans sa prostate et au cœur de ses bourses, s’amplifie, grandit, puis quitte ses organes sexuels pour se propager à toute vitesse vers l’extrémité de son sexe tendu. Je décuple sa jouissance en branlant ...