Ride Sally Ride - Histoires de Sexe

Ride Sally Ride

... d’ailleurs je bande. Nous arrivons chez Guenièvre ; je gare ma voiture derrière la berline allemande. — Ils ont dû mettre la Mustang dans le garage pour la protéger. Aide-moi à décharger, beau gosse. Allez, sors de la voiture. J’ouvre le coffre et remets un carton à Guenièvre en le portant devant mon bas-ventre. — Pourquoi tu le caches, Harry ? J’adore quand un homme bande pour moi. Elle se penche, me fait un rapide smack sur la bouche et se dirige vers le garage en dandinant des fesses. Je suis scotché ! Cette femme est une tigresse ; elle me rend fou avec son naturel sensuel et provoquant à la fois. Le déchargement se termine ; par maladresse elle renverse sur moi un carton qui contient des confettis, des paillettes et des bouteilles de sirop. C’est la catastrophe, j’en ai plein mon costume tout neuf. — Oh, pauvre chou, tu es tout sale… J’ai taché ton beau costume. Elle me dit cela en prenant un vieux chiffon pas très net et commence à frotter mon pantalon, juste au point sensible. Non seulement elle se fout de ma gueule, mais en plus elle m’excite terriblement : elle frotte mon sexe à travers le pantalon tout en m’offrant une vue plongeante sur son décolleté. — Arrête, c’est pire que mieux. Tu en rajoutes, tu es en train de massacrer mon costume ; il est foutu maintenant. T’es vraiment une belle garce… Tu me provoques et tu bousilles mes fringues.— T’énerve pas, beau brun, même si t’es un peu chauve ; viens, suis-moi dans la salle de bain, on va arranger ça. T’inquiète ...

... pas ; tu verras, tu rentreras content de ta nuit, avec un beau costume tout propre. Pour arriver à la salle de bain, nous passons devant la chambre du couple ; la porte est fermée, une petite lueur passe dessous. — Ton mari ne dort pas, Guenièvre ; tu ne crois pas qu’il va faire une crise de jalousie s’il me voit en caleçon dans la salle de bain avec toi qui t’occupes de mon pantalon ?— T’inquiète pas pour cet obsédé : il n’a rien à dire, vu ce qu’il fait d’habitude. Même s’il est jaloux, il n’a rien à dire. Je la suis dans la salle de bain. Elle verrouille la porte immédiatement, m’enlève ma veste et mon pantalon avec une dextérité impressionnante. — Ben mon cochon, pour quelqu’un qui craint pour son costume, ton cigare a failli y mettre le feu ! C’est moi qui te fais cet effet-là ? J’adore. Tu parlais de mon mari jaloux ? Tu vas voir ce qu’il a installé, ce pervers. Mais d’abord assieds-toi sur le tabouret et regarde-toi dans la glace. Elle glisse le miroir sur un rail prévu à cet effet et laisse apparaître une pièce à peine éclairée. Elle éteint la lumière de la salle de bain, et c’est une partie de la chambre qui apparaît. Là, j’ai un choc ! Le spectacle est irréel. Je vois le cow-boy à la Mustang, son fameux chapeau sur la tête, des tatouages indiens sur les bras, à genoux sur le lit. D’une main il tient la nuque d’une femme à quatre pattes qui lui fait une fellation ; elle a un bandeau noir sur les yeux. Je ne vois que son dos et le haut de ses fesses, l’angle de vue ...