Ride Sally Ride - Histoires de Sexe

Ride Sally Ride

... odeur, mélange de Numéro 5 et de sueur m’envoûte. Elle plonge son regard dans le mien et me susurre doucement « Je t’aime… » Elle me tend une coupe de champagne et, pour la première fois, elle en prend une. Elle ne boit jamais une goutte d’alcool, ni champagne ni quoi que soit d’autre, même à notre mariage. Sally me regarde dans les yeux, un sourire sensuel. Un petit coup de langue sur le bord de la coupe pour lécher sensuellement une goutte du breuvage, puis elle boit le breuvage doucement, déglutissant gorgée par gorgée. Quand elle repose la coupe, elle est vide. Aussitôt elle en prend une deuxième, me regarde toujours dans les yeux. — Quel plaisir, c’est délicieux ! J’adore l’effet des bulles qui rincent ma gorge et descendent doucement au fond de mon corps. Elle boit, tout aussi sensuellement que la première fois. Elle s’approche alors et m’embrasse langoureusement, passionnément, comme à notre premier jour. Le monde n’existe plus. Je la serre contre moi, mes mains glissent sur ses hanches. Le goût de sa bouche est différent : le champagne sur sa langue est divin, pétillant, étrangement excitant, dans tous les cas nouveau. Je sens une main sur ma fesse, et les mains de Sally qui me caressent la nuque. C’est bon, c’est sensuel… Sally n’a pas trois mains ! — Alors, les amoureux, soyez patients. Tout le monde vous regarde ; c’est le mariage de nos enfants, mais quand même tenez-vous. C’est Guenièvre qui intervient et nous fait la morale sur un ton de reproche sec mais avec ...

... un regard brillant après avoir retiré sa main de ma fesse, la troisième sur mon corps. La soirée continue ; Sally découvre à présent la vodka, plus que de raison. — Mon chéri, j’ai mal à la tête, je vais rentrer. Mathieu (notre fils) me dépose à la maison ; profite bien de la fin de soirée, à tout à l’heure. Réveille-moi quand tu rentres. Puis, plus bas : — Je te veux. Elle m’embrasse rapidement et s’éloigne en titubant. La soirée se termine ; Vladis est parti avec Bob pour déposer du matériel, je finalise le rangement avec la belle Guenièvre. Elle ne rate pas une occasion de se pencher en avant pour ramasser une bricole au sol, me laissant une vue splendide sur ses fesses, le haut de ses bas, et parfois sa fine culotte en dentelle assortie à son soutien-gorge. — Harry, tu peux m’aider à déposer ces sacs et ces cartons chez moi ? Tu as encore de la place dans ta voiture. J’accepte. Quelques minutes plus tard elle monte sensuellement dans la voiture, s’assied à côté de moi et remonte sa jupe plus que de raison « pour être plus à l’aise ». J’ai à nouveau une vue splendide sur ses bas, les jarretelles qui les retiennent et sa charmante culotte de dentelle chair, légèrement humide. — Ta voiture est très pratique pour des transports, mais question vibrations excitantes, c’est un peu limite. La route, bien que courte, est un supplice. Cette femme splendide assise à mes côtés, fatiguée mais diablement sexy, la jupe impudiquement remontée qui dévoile un spectacle hyper bandant. Et ...