Pauline
Datte: 15/03/2021,
Catégories:
69,
pénétratio,
hgode,
jouet,
Oral
... crois que moi aussi, je vais préférer la station debout un certain temps ! Et puis au bout d’un moment – trop long, trop court ? – elle le retire, aussi brutalement qu’elle l’avait introduit ; on se retrouve agenouillé sur le lit, face à face, enlacés. — T’as aimé ? Un petit oui timide, et c’est à peine si j’ose ajouter : — On n’a pas essayé, à deux… Elle s’allonge, se pend à mon cou. — J’ai surtout envie que tu me fasses mon bébé, tu sais… Je la regarde ; dans la pénombre, elle est toujours aussi désirable, et notre petite séance n’a fait que décupler mon excitation. — J’ai envie de t’embrasser.— Alors, embrasse-moi. Nous nous sommes jetés dans les bras l’un de l’autre ; nous avons roulé sur le lit défait, nous nous sommes embrassés, à pleine bouche, j’ai peloté ses seins comme sans doute je ne l’avais jamais fait, et puis, je l’ai baisée, mais pas bien, trop vite, pas comme j’aurais voulu, trop impatient de jouir dans son ventre, le but, l’apothéose de notre aventure d’un soir. Le petit matin nous a trouvés serrés l’un contre l’autre. C’est Pauline qui m’a réveillé, pour une « piqûre de rappel », selon sa propre expression, déformation professionnelle amusante. — C’est plus sûr, a-t-elle ajouté en souriant. Nous avons refait l’amour, mais simplement, juste un acte sexuel, en fait, sans véritable passion, un dernier moment de bonheur, avant que l’on se quitte, définitivement, sans doute. Avant qu’elle ne franchisse la ...
... porte, je lui pose quand même la question : — Tu reviendras ?— Non, Vincent, je ne crois pas, inutile de vouloir recommencer notre histoire, restons-en là, c’est mieux comme ça ! Ah oui, au fait, j’allais oublier : dans la salle de bain, tu trouveras ma petite culotte, je te la donne, si tu veux, en souvenir d’un merveilleux moment passé ensemble. Et elle ajoute avec un petit sourire : — Fais-en bon usage… Un baiser d’adieu, sur la bouche, celui-là. Quelques semaines plus tard, elle m’envoyait un message : « Je suis enceinte, je suis heureuse, encore merci, bises. ». On ne peut pas faire plus laconique ! Et c’est à peu près à cette époque que j’ai rencontré Dorothée, une jeune stagiaire, très… ambitieuse qui, très vite, vint habiter chez moi ; et qui fut très étonnée, quelques mois plus tard, de me voir tout heureux à la réception d’un faire-part m’annonçant la naissance d’un petit Théo. — Franchement, je ne vois pas ce qui peut te rendre si joyeux ! Que ton ex-femme ait un bébé, en quoi cela te concerne, toi ? En plus tu ne sais même pas qui est le père… J’ai souri. — Ouais, mais quand même, une naissance, c’est une bonne nouvelle, non ? Mais dis donc, cela ne te donne pas envie d’en avoir un, de bébé, toi ? Elle a poussé un grand cri : — Ah non ! Pas tout de suite, pas maintenant, je veux profiter de la vie, moi ! Sûr qu’elle n’a pas compris pourquoi, à cet instant, j’ai levé les yeux au ciel avec un profond soupir…