1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (53) : le bureau.


    Datte: 15/03/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... je m’habillais plus court, plus sexy, je mettais désormais en valeur mon décolleté, mes fesses, mes jambes. Dans un premier temps, Denis semblait vouloir tenir sa promesse de ne pas aller plus loin. Le premier jour, j’étais assise devant mon ordonnateur, il vint dans mon bureau et se contenta de poser brièvement une main sur mon épaule. Je ne pus m’empêcher de frissonner, pourtant il ne faisait pas froid et j’avais gardé la veste de mon tailleur bleu. Il avait remarqué mon trouble : • C’est bien, tu m’as écouté. Ce tailleur bleu te va à merveille. Enlève cette veste, tu dois avoir chaud ! Je me suis mise à rougir comme une jeune fille. Je lui ai obéi. • Lève-toi que je t’admire ! Tu es superbe, quand on a de telles jambes, on les montre. Et j’aime ton chemisier échancré. Demain, ne mets pas de soutien-gorge, tu veux bien ? • Denis, s’il te plait, j’ai beaucoup de travail ! • Je ne fais rien de mal, c’est juste pour le plaisir des yeux ! Je te laisse travailler. Rien à signaler pendant un moment. Soit Denis avait renoncé, soit il faisait attention de ne pas être surpris dans un geste déplacé, pour ne pas encourir d’accusation de harcèlement. J’ai eu assez vite la réponse. Je cherchais un dossier dans un meuble classeur. Je portais une jupe noire, assez serrée, mais qui allait juste au-dessus des genoux. Denis est passé derrière moi et j’ai eu droit à une légère tape sur les fesses. • Mais !!! Tu arrêtes ça ! • Excuse-moi, mais ton cul est une vraie invitation à le découvrir ...
    ... avec les mains. Que devais-je faire ? Aller voir le syndicat ? Me plaindre auprès des Ressources Humaines ? En parler à Philippe ? Je n’ai rien fait de tout cela. Pour plusieurs raisons. Me croirait-on ? Si on se renseignait un peu, ma véritable personnalité pouvait ressortir. Je ne voulais ni perdre ce travail, car je risquais de ne pas en retrouver un autre, et je ne voulais pas causer d’ennuis à Denis qui, après tout, n’avait rien fait de mal, en dehors de quelques gestes déplacés. Et puis, je l’avoue. Réellement en manque, je me sentais oubliée par Philippe. Je n’étais pas peu fière, à 37 ans, mère de trois enfants, de susciter le désir d’un homme si séduisant. Le jeu du chat et de la souris s’est poursuivi. Le chat, sûr de lui, prenait son temps. Son instinct devait lui dire que j’étais en manque et qu’il parviendrait à ses fins. Denis a continué son offensive. J’avais mis une robe bleue assez sage, j’étais debout, au téléphone, occupée à traiter un dossier délicat. Denis est entré dans le bureau. Et à nouveau une main baladeuse sur mes fesses ! Mais cette fois, pas une petite tape ou un geste furtif. Il prenait son temps, il malaxait mes fesses. La version officielle, que je lui assénais quelques minutes plus tard lorsque j’ai déboulé dans son bureau, furieuse, est que je ne pouvais pas faire d’esclandre alors que je traitais d’un dossier stratégique pour mon employeur. En réalité, Denis avait bien perçu mon consentement, ne serait-ce qu’au son de ma voix. Il se contenta ...
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