Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (53) : le bureau.
Datte: 15/03/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... dû essayer, discrètement, d’enlever cette main, mais j’avoue que, malgré moi, j’étais excitée. En fait, j’avais envie qu’il continue, qu’il aille plus loin. J’aurais dû au moins le regarder sévèrement, au lieu de ça je me suis contentée d’un sourire idiot. Lorsque nous sommes retrouvés seuls, j’ai abordé le sujet : • Denis, ce que vous avez fait tout à l’heure, ce n’est pas bien. Je suis une mère de famille, je suis mariée. • Il m’a semblé, Olga, que cela ne vous déplaisait pas tant que ça. Mais bon, je vous promets d’être sage à l’avenir. • Je vous remercie, j’aime beaucoup ce travail. • Et moi j’apprécie beaucoup votre travail et notre hiérarchie aussi. Vous êtes parfaitement intégrée et votre compétence est reconnue. J’ai juste deux demandes, Olga • Allez-y ! • D’abord, comme nous travaillons beaucoup ensemble, je propose qu’on se tutoie. • C’est d’accord, Denis. • J’aimerai aussi que tu renonces à porter ces tenues si strictes. Tu es superbe, sois plus sexy. Mets-toi plus en valeur, tu es superbe. Je te dis ça sans arrière-pensées. • Je le ferai puisque ça te fait plaisir, Denis. Mais on s’arrête là, d’accord ? Il se contenta de sourire. Il m’a raccompagné et, alors que je m’apprêtais à sortir du bureau, il a posé une main sur mes fesses. A nouveau, je n’ai pas réagi comme j’aurais dû et lui coller une gifle : • Tu avais promis ! • Oui, pardon, mais tu as de si jolies fesses, je n’ai pas pu résister. Ne t’inquiète pas, je ne ferai rien que tu ne veuilles toi-même ! Son ...
... instinct lui avait fait comprendre dès mon arrivée que je n’étais pas celle que je prétendais être. Il était de plus au courant des vraies raisons de mes passages aux toilettes. C’est d’ailleurs là où je me suis rendue immédiatement après cet incident, sans porter attention au sourire narquois de Monique. Et en effet, une fois la porte fermée derrière moi, je me suis branlée le clito, enfoncé les doigts dans ma chatte trempée et béante, caressé les seins, et j’ai fini par jouir, sans pouvoir retenir mes gémissements au moment de l’orgasme. Quand je suis sortie, Monique était là et a levé l’ambiguïté : • Dis-donc, ma chérie, tu as pris ton pied ! Je rougis et baissais les yeux. • Tu sais, j’aime les jolies femmes. Si tu veux, on pourra s’amuser un peu ensemble. • Non merci, je suis fidèle et j’entends le rester. Je ne voulais évidemment pas parler d’Agun à cette femme et de la promesse de fidélité que je lui avais faite. • On verra ça sur la durée. En tout cas, en ce qui me concerne, tu as tort. Si tu changes d’avais, fais-moi signe ! Le soir, j’ai eu du mal à dormir, je me suis à nouveau masturbée pendant que Philippe dormait. Je pensais à cette journée, à Denis, j’avais envie de lui. Il ne fallait pas, je ne devais pas ! ALLUMEUSE ? Le lendemain matin, je me raisonnais en me disant que je devais résister à la tentation, repousser les avances de Denis. Et pourtant, à partir de ce jour-là, sans tomber dans l’exagération, je choisissais des tenues toujours aussi élégantes, mais ...