Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (53) : le bureau.
Datte: 15/03/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... et de désir. Denis ne s’embarrassa pas de préliminaires. Il était fou de désir, volontairement ou pas, je l’avais trop « chauffé ». Il dégrafa sa braguette et sortit son sexe, puis il me l’enfonça avec force dans mon intimité, me prenant en levrette et, bien évidemment, sans capote ! Son sexe était énorme. Cela me procura un plaisir si intense, j’étais tellement en manque que j’ai eu mon premier orgasme à peine pénétrée ! Il commença à me labourer très rapidement et sèchement. Il me mettait des coups de boutoir si fort que je jouissais et mouillais comme jamais. Il avait deviné que j’aime être prise très sauvagement. Les mains de Denis me pétrissaient les fesses avec force pendant que sa verge épaisse me défonçait la chatte. Je poussais de petits cris de jouissance, car j’essayais tant bien que mal de ravaler mes jouissances. Il me chevauchait avec fougue et sauvagement, puis il s’arrêta et passa en mode très lent, il enfonça alors dans mon petit trou un de ses doigts. La jouissance était trop intense. Son doigt me lubrifiant et m’élargissait mon trou du cul pendant que sa grosse queue allait doucement dans mon intimité mouillée. Puis il mit le bout de son gland à l’ouverture de mon cul et enfonça tout doucement sa bite colossale dans mon anus. J’ai eu un orgasme violent ! J’avais honte, car ce mec m’encule sans me le demander, je le laisse faire et en plus je jouis encore plus que par-devant. Il m’enculait sauvagement, je ne sentais plus mon cul ! Je jouissais à répétition. ...
... J’étais folle de plaisir. Puis d’un coup, il me retourna me mit à genoux et me baisa la bouche. Sa queue avait le goût de mon cul ! Et je jouissais toujours ! D’un coup il déchargea son foutre épais et brûlant sur ma langue et dans ma gorge. Je jouissais et je lui suçais la bite avec avidité. Je léchais son nectar salé et brûlant. Sa bite ramollissait dans ma bouche, mais son gland restait bien gonflé. Je ne voulais plus sortir sa grosse bite de ma bouche. Il me releva : • Depuis le temps que j’en rêvais. J’ai tout de suite su que tu étais une salope. J’ai encore envie de toi, Olga. Cette-fois, je veux prendre mon temps et te remplir ! Il eut vite fait de retrouver ses moyens, aidé par ma bouche et ma science de la fellation. Ce soir-là, nous avons fait l’amour un long moment, dans divers positions : au sol, moi au-dessus de lui, ce qui lui permettait de me bouffer les lèvres et la langue et de s’occuper avec science de mes seins. Il me prit aussi debout, appuyée contre la cloison. Il m’a alors assise sur le bureau, et il s’est à nouveau enfoncé en moi avec une douceur et une lenteur calculées. La pression montait. Il me tenait plus fermement, m’imposant une position rigide. Il voulait dominer, me faire payer ma longue résistance. Je ressens un plaisir fou, cette sensation d’extase traverse tout mon corps. Il caresse mon clitoris, m’enfourche plus profondément à chaque coup, je sens qu’il va jouir et moi aussi. Au début, mes cris étaient espacés, distinctifs et rauques, ils ...