1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (53) : le bureau.


    Datte: 15/03/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... précieuse. Au départ, tout s’est bien passé. Je veillais à m’habiller avec des tailleurs stricts, à éviter les décolletés provocants, tout ce qui pouvait mettre en valeur mes fesses, mes seins, mes jambes. Je faisais aussi en sorte que mon maquillage soit discret. Bref, j’étais une mère de famille « normale », qui reprenait une activité professionnelle, qui s’investissait dans son travail, ne ménageait pas son temps et donnait entière satisfaction. Et cela avait en effet un effet apaisant sur ma libido, parce que j’étais passionnée par ce challenge, que je rentrais le soir d’autant plus fatiguée que je devais aussi consacrer du temps aux miens. Bref, a priori l’équilibre parfait, même si je ne pouvais, de temps en temps, m’empêcher de me rendre aux toilettes pour me soulager, en me masturbant, tout en veillant à réprimer tout gémissement de plaisir. Je m’efforçais d’être discrète, du moins je le croyais, à tort, car une de mes collègues, Monique, avait repéré mon manège et découvert la raison de mes passages aux toilettes, un jour où je m’étais laissée aller à ne pas contenir ma jouissance. Mais ça, je ne l’ai su que plus tard. Ma tranquillité n’a pas duré parce que Monique, qui ne m’aimait pas, avait été bavarde et avait mis dans la confidence Denis. J’ai aussi fini par croire que ça se voit sur mon visage que je suis hypersexuelle et que je suis toujours disponible, pour autant qu’on me sollicite. Mon chef direct, Denis avait la quarantaine, un bel homme brun, grisonnant, ...
    ... de taille moyenne, légèrement dégarni, et possédant un charme fou. Il est très autoritaire, mais très correct et très sympathique. Je refusais de l’admettre mais j’avais été d’emblée troublée par lui. HARCELEE ? Un jour, lors d’une réunion, alors que je portais un strict tailleur du style banquière et que j’étais à côté de lui lors d’une réunion, une main s’est posée sur ma cuisse. C’était Denis, qui était assis à côté de moi. J’étais en train de faire un exposé. J’ai pris sur moi de ne pas m’interrompre, de masquer mon trouble, pourtant perceptible dans ma voix et dans mes yeux. J’ai immédiatement ressentie que j’étais excitée, que je ne contrôlais pas ma réaction. Que devais-je faire ? Pas question de faire un scandale, ce n’était pas le lieu, devant témoins, en pleine réunion. En même temps, c’était à un moment, après le retour de nos vacances 2014 où, depuis des semaines, il ne se passait plus rien, après une période d’intense « activité » dont j’ai parlé. J’étais manifestement en manque, je l’avais dit à Philippe, qui se contentait, avec un baiser, de me dire de patienter, qu’il était lui-même très pris sur le plan professionnel en ce moment et ne pouvait donc pas organiser ces moments dont j’avais besoin. J’ignorais à ce moment-là le vrai motif de ses occupations : il allait, à chaque fois qu’il le pouvait, rejoindre la jeune Ambre, qui, depuis nos vacances, était devenue sa maîtresse (voir récits 45 et 46), et ce avec la complicité de son mari Renaud. Je sais, j’aurais ...
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