Katya
Datte: 15/03/2021,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
hagé,
extracon,
inconnu,
fépilée,
Oral
fist,
pénétratio,
fsodo,
champagne,
cocucont,
J’avais rencontré Katya dans les années 90. Je travaillais alors pour le gouvernement au sein des forces spéciales. Plutôt doué dans cette branche, j’avais entamé une carrière aussi brillante que fascinante. Mais Katya était russe – russo-finlandaise pour être précis – et très vite on me mit sur la touche. Exit mon habilitation « secret défense », exit les missions pointues sur les points chauds du globe ! Mais Kaya était si belle ! Et j’étais tellement amoureux que je n’avais pas hésité un instant entre elle et mon job. Jeune marié et rapidement embauché pour « aider » quelques chefs d’entreprises inquiets, j’avais repris une vie assez trépidante, accompagnant de très VIP lors de rendez-vous d’affaires souvent sensibles. Ce n’était plus les missions d’antan, mais c’était bien payé et presque amusant. Ce soir-là, je devais assurer la tranquillité d’un dîner d’affaire entre un grand ponte français et un « exportateur » russe. La réunion se passait dans un hôtel particulier du 8ème, à deux pas de chez nous. Pas d’exotisme pour aujourd’hui, plutôt la routine ! L’ensemble du personnel, en nombre réduit, avait été contrôlé. Les locaux également. Les Russes arriveraient dans deux heures, l’interprète devait arriver, il était en retard et c’étaitt fâcheux. Particulièrement dans ce genre d’affaire. Le téléphone sonna. Il avait eu un accident. Il n’était que légèrement blessé, mais l’autre conducteur avait été transporté à l’hôpital et il allait être retenu par les services de ...
... police… La tuile! Mon patron était parfaitement anglophone et germanophone. Moi-même, je maîtrisais bien les langues orientales, mais aucun de nous ne connaissait assez le russe pour négocier à ce niveau. Immédiatement je pensai à Katya. Le patron était d’accord, je l’appellai. — Katya, c’est moi, on a besoin d’une interprète, c’est très urgent. Fais-toi belle, mais très vite, et rejoins-nous à cette adresse… avant une heure, ça te laisse une demi-heure pour te préparer. Elle râla un peu. Une demi-heure, c’était si court, mais elle accepta, trop heureuse de m’aider dans mon job, elle qui se sentait responsable de mon éviction passée. Elle se sentait utile et elle était enthousiaste. On sonna. C’était elle. Rapide. Efficace. Pas de maquillage si ce n’était un soulignement discret du regard. Une peau fraîche, une longue chevelure blonde tombant sur de fines épaules. Une robe noire sur une taille fine dont un discret décolleté laissait deviner des seins fermes. Une robe longue dont la fente savante laissait apparaître subrepticement une jambe dont les escarpins exagèraient encore la longueur et le tracé parfait. Elle était vraiment très belle ! Elle me sourit et m’embrassa. Je fis les présentations et mon patron lui exposa la situation, l’ampleur du contrat sous-jacent et l’importance capitale qu’il y avait à tout mettre en œuvre pour y parvenir. Cette recommandation, toute professionnelle, me fit prendre conscience que je venais de faire entrer ma petite femme chérie dans un monde ...