1. Katya


    Datte: 15/03/2021, Catégories: fh, ff, fhh, hagé, extracon, inconnu, fépilée, Oral fist, pénétratio, fsodo, champagne, cocucont,

    ... Vous avez été embauchée pour aider à le faire aboutir, c’est à vous de décider. Je la vouvoyais pour lui signifier qu’il n’y avait ni mari, ni femme, mais une mission, vieux réflexe d’antan, puis me retournais vers mon patron : — Bien sûr, madame devait fournir une prestation de traduction, si elle devait être amenée à d’autres prestations, que ni vous ni moi ne pourrions fournir, il faudrait en prévoir le coût. Mon patron me fit discrètement une offre que je jugeais ridicule (même si elle était confortable, c’était de ma femme dont il était question quand même !), je repris : — Je vous rappelle que madame n’est ni une simple interprète, ni une collaboratrice particulière, mais une femme du monde que je vous ai personnellement conseillée et sans laquelle aucune affaire ne pourrais aboutir aujourd’hui. Il corrigea son offre et l’assortit même d’un « intéressement à la signature » Le Russe avait discrètement commencé à caresser sa cuisse. Elle, nous écoutait, et loin d’être idiote, venait de comprendre ce que pouvait signifier « mettre tout en œuvre ». Elle me dit : — Tu accepterais que je fasse ça ?— Je n’ai rien à accepter, ici je ne suis qu’un employé, j’ai un job à faire ; vous également, et cela ne me regarde pas. Mais si cela peut vous intéresser, sachez que monsieur xxx attache un très grand prix à la conclusion de cette affaire. Et pour la rassurer (et la pousser dans une aventure qui quelque part m’échappait, mais m’excitait) : — Ne vous inquiétez pas, rien ne filtre ...
    ... de ces repas d’affaire et je suis le premier à oublier ce que je vois.— OK ! fit-elle, mais je ne sais pas ce que je serais capable de faire ni jusqu’où je pourrais aller…— C’est votre boulot, madame, faites de votre mieux ! (Je ne me rendais pas compte alors de la portée de ma phrase, je connaissais Katya, et en la matière si elle faisait de son mieux, ça pouvait effectivement aller très loin… mais on n’en était pas là tout de même). Le Russe, ne sachant probablement pas qu’il s’agissait de ma femme, continuait sa caresse, puis prit une coupe de champagne et leva un toast : — Aux affaires, dit-il en mauvais français. Puis se retournant vers Katya, il prononça un second toast manifestement plus intime. Ils trinquèrent, burent d’un trait et jetèrent leur coupe « à la Russe ». Et il l’embrassa dans le cou. Katya accepta ses baisers et jeta sa tête en arrière. Ses seins aux pointes durcies cherchaient à percer la soie noire de sa robe. Le Russe se tourna franchement vers elle et changea de main pour la caresser sans plus aucune pudeur. Il remonta sous le tissu léger jusque sous sa fine culotte. Il s’arrêta et lui murmura quelque chose. Il venait probablement de découvrir le satin de sa peau toujours parfaitement épilée. Elle lui répondit (je compris le « da », pas le reste) et il l’embrassa à pleine bouche. Sa main quitta son sexe et vint pétrir ses seins. Il pinçait les pointes au travers de la robe, parfois jusqu’à la faire grimacer, au seuil de la douleur. Puis il passa sa ...
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