1. Katya


    Datte: 15/03/2021, Catégories: fh, ff, fhh, hagé, extracon, inconnu, fépilée, Oral fist, pénétratio, fsodo, champagne, cocucont,

    ... doigts réunis. Katya cria encore sa jouissance. Le Russe but tout ce qu’il pouvait recueillir, puis sortit son sexe durci et la pénétra très rudement, sans aucune précaution. Son sexe entra dans le vagin déjà encombré de raisin. Plus fin que la bouteille, le sexe du Russe glissa, écarta les grains, en éclata certainement quelques-uns au fond de la matrice de la belle traductrice. À chaque coup de boutoir, il réduisait un peu plus le raisin en bouillie et je pouvais voir le sexe de l’homme aller et venir si violemment dans ce trésor de féminité et de délicatesse, je pouvais voir cette bouillie de raisin trempée de cyprine et de champagne. Sous la violence de l’acte, Katya avait glissé en arrière et sa tête tombait au bout de la table, devant mon patron. Ce dernier était jusqu’alors resté très digne, l’expérience et l’âge (lui avait une bonne soixantaine, tout de même) lui permettaient de d’assister à ces dîners d’affaire, qui parfois dégénéraient ainsi, sans émoi particulier. Les yeux de mon épouse, la tête ainsi renversée, plongèrent dans ceux de mon patron. Toujours bousculée sans ménagement, sa nuque frottait, heurtait même, le bord de la table. Avec une douceur très « paternelle », il glissa une main dans ses cheveux pour la soulager. Le Russe continuait, Katya plus à son aise et, sans quitter mon patron des yeux, se laissa aller dans un nouvel orgasme. Je n’avais jamais vu mon patron ainsi, il était écarlate, suffoquait presque. Il soutenait maintenant la nuque de Katya ...
    ... de ses deux mains. Il se baissa alors et déposa un baiser pudique sur ses douces lèvres. Elle lui rendit son baiser. Ils s’embrassèrent alors à pleine bouche, leurs langues ne se perdant que sous les chocs répétés du Russe. Mon patron se releva, une main soutenant toujours la nuque de ma femme, ouvrit sa braguette, en sorti un membre encore respectable et, sûr de lui, le plongea dans la bouche de Katya. Elle adorait me faire ce genre de gâterie et y trouvait toujours son plaisir. Le Russe d’un côté, l’autre dans sa bouche, elle jouit encore. Mon attention se tourna alors vers mon patron (et de moins en moins vers le boulot, il faut le reconnaître) car ma femme le dévorait comme si elle n’avait rien mangé depuis huit jours! Elle y mettait tout son cœur et y prenait un plaisir manifeste. Calmée après tant d’orgasmes répétés, elle avait tout loisir de s’occuper de ce sexe nouveau dont elle goûtait les premières saveurs. Malgré l’érotisme de la scène, malgré l’état de ces deux hommes profitant ensemble de mon épouse, je me calmais un peu, probablement en phase avec la femme que j’aimais et qui, elle, savourait calmement ce moment étrange d’après-jouissance prolongé du plaisir d’être ainsi encore comblée. Plus calme donc, je reprenais conscience de mon travail, je faisais un point de situation avec le reste de l’équipe de sécurité lorsqu’un cri violent me ramena brusquement vers la table. En une fraction de seconde, le lieutenant du Russe et moi-même avions nos armes en main, paré ...
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