-
Brave Margaux… (ou quand le cocu tient la c
Datte: 16/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme
... bourrin.Il procédait par lentes et puissantes intromissions qui se terminaient invariablement par une plainte étouffée à chaque fois qu’il allait au plus profond.Pas de doute possible : Margaux appréciait ce traitement. Je la devinais en train de tenter de se maitriser au maximum pour ne laisser échapper que le minimum, mordant sans doute dans ses poings, gémissant dans l’épaule de son amant, poussant parfois de petits cris lorsque le plaisir était trop intense.Et ça durait… encore et encore…L’indécent adultère n’en finissait pas !Je disais plus haut qu’attendre dans le noir pouvait paraître une éternité… Ce n’est rien comparé à l’obligation d’écouter passivement sa femme gémir son plaisir dans les bras d’un autre que soi.Au bout d’un moment, j’ai arrêté de noter les fois où elle semblait prendre son pied… La parano devait me tromper : Il n’était pas possible d’avoir autant de jouissances successives !Et le pire, dans tout ça, ce n’était pas de savoir que ma femme me trompât sous mon nez, avec notre pote dans le lit d’à côté…Ce n’était pas qu’elle parût y prendre un plaisir infiniment plus grand que d’habitude avec moi…Ce n’était pas non plus que ce type semblât mieux équipé et nettement plus endurant que moi.Certes j’étais blessé par ce que j’entendais, outragé par ce que je comprenais… humilié parce que cela impliquait… mais il y avait plus grave encore…Car le pire c’était que cela m’avait filé une trique d’enfer ! Une érection traitresse et incontrôlable qui ajoutait à ma ...
... honte et à ma souffrance : A mon esprit défendant, visualiser Margaux écartant les cuisses pour mieux accueillir les coups de reins de son amant, imaginer ce « gros » phallus pénétrer les chairs de ma compagne semblait m’exciter au plus haut point.Je sentais que si je m’abaissais à me toucher, il ne faudrait pas attendre beaucoup avant qu’une délivrance honteuse n’intervienne.Et ce constat ajoutait un point d’orgue à mon désarroi.Au bout d’un temps qui me parut interminable, tout cela finit quand-même par s’arrêter : Théo poussa un grognement assourdi et je devinais qu’il venait de s’épancher tout au fond de Margaux, dans cette petite cavité intime qui n’avait connu que moi depuis trois ans et qui n’avait guère admis plus de deux ou trois visiteurs auparavant.Ce plaisir là ne fut pas synchrone. Mais ne pense pas que Margaux eut pu lui en tenir rigueur.Pendant de longs instants, on n’entendit plus que leurs respirations essoufflées. Puis…« – T’es un dieu ! »« – Merci… T’es très bien aussi… Aussi bien que je me l’imaginais dans mes fantasmes les plus fous ! »« – Ah parce que tu fantasmais sur moi ? »« – Bien évidemment ! Qui ne l’aurait pas fait ! »« – Ouais… le vieux fantasme de la meilleure copine de la copine. »« – Peut-être mais tu pourras demander à Fab’ et Bast’ : Ca fait longtemps que je leur parle de toi… Et tu remarqueras que j’ai attendu de ne plus être avec Lauriane. »Ouais… ce que n’avait pas fait Margaux !Mais celle-ci ne semblait pas s’en émouvoir, au contraire :« ...