1. Brave Margaux… (ou quand le cocu tient la c


    Datte: 16/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... pif.Venu jouer les gros bras pour prêter main forte à son copain, Bastien s’est pris ma reprise de volée en plein dans les parties avant même d’avoir compris ce qui lui arrivait… Plus c’est gros, plus c’est facile à viser !Margaux n’a pas capté. Entre le costaud qui braillait comme un putois égorgé et l’autre qui pissait le sang, elle a choisi de m’incendier. Pour elle, j’étais une brute, un idiot, un dégénéré…Ce qu’il faut pas entendre !Alors bien-sûr, j’ai riposté. Je ne pouvais pas être celui qui avait le mauvais rôle. Pas comme ça !J’ai lâché ce que j’avais sur le cœur depuis plus de 24 heures. J’en ai même rajouté : Je l’ai traitée de tous les noms, de trainée, de salope, de putain… tous ces gentils petits mots qui nous viennent si facilement dans ces cas là et qui scellaient une rupture devenue inéluctable.On aurait pu se foutre dessus mais non.Après avoir braillé de plus en plus fort pendant un bref instant, on s’est tourné le dos. Je suis reparti d’où je venais, ruminer ma colère qui avait enfin trouvé manière à s’exprimer.J’en voulais à Margaux.Non pas de m’avoir trompé – enfin si mais ça, j’avais déjà commencé à m’y faire – mais surtout de ne m’avoir pas soutenu lors de cet ultime affrontement, de s’être rangée du côté des autres, des mauvais.C’était ça le réel abandon. C’était ça la vraie trahison ...
    ... !***Quand je suis revenu, beaucoup plus tard, ils étaient définitivement partis.Tous les quatre.La maison était vide.Pas un mot sur la table, pas même une insulte.Rien pour formaliser trois ans de vie commune foutus en l’air en 36 heures.Je me consolais en me disant qu’avec ce que je lui avais mis dans les valseuses, Bastien n’était pas près de rebaiser avec Margaux… ni avec aucune des petites espagnoles dont il rêvait tant.Quant à Théo, il faudrait du temps et un bon chirurgien esthétique avant qu’on l’appelle à nouveau « beau gosse ».Maigre et futile consolation… Mais qu’ils aillent tous se faire foutre !***Je suis resté plusieurs jours à me morfondre dans mon petit coin de paradis qui avait soudain perdu toute saveur.Je trainais du matin au soir sans goût pour rien.Je m’avançais lentement mais sûrement vers une gentille petite dépression lorsque je reçus une visite inattendue… qui vint à point nommé soigner mes bleus à l’âme… et au cœur…« – Bon j’abandonne ! Je le trouverai plus tard… Alors, tu viens Chéri ! On se le fait ce petit marché dont tu m’as tant vanté les mérites ? »« – J’arrive mon cœur, j’arrive ! »Juste le temps de planquer discrètement les deux appareils…Je suis sorti sur la terrasse et j’ai saisi la petite main tendue qui m’attendait.« – Tu sais Lauriane, je crois que l’on va passer des vacances géniales ! » 
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