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Brave Margaux… (ou quand le cocu tient la c
Datte: 16/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme
... sombrer à son tour.Puisque tout le monde semblait baisser pavillon, ma vigilance laissa à désirer, elle-aussi.Et je ne me sentis pas partir…Je me suis réveillé encore étonné de m’être assoupi mais déjà l’esprit en alerte.Je sentais que l’environnement autour de moi avait changé. J’avais dû dormir beaucoup plus longtemps que je ne le pensais au départ.J’étais tout seul… La chaise longue à côté de la mienne était vide. De même que le siège occupé auparavant par Théo.Bastien n’était plus assis en face et il n’y avait pas plus de Fabien allongé sur le muret…Mais ces deux là n’étaient pas loin : Ils semblaient bizarrement affairés devant la fenêtre qui donnait sur la chambre… comme s’ils essayaient de distinguer l’intérieur à travers les persiennes.Je n’arrivais pas à comprendre ce qu’ils trafiquaient et me redressai donc sur mon siège.Leur occupation ne m’aurait pas paru si suspecte s’ils ne s’étaient empressés d’afficher sur leurs faciès coupables une désinvolture trop évidente pour être honnête dès qu’ils se rendirent compte de mon réveil.Fabien se fendit même d’un « – AHH, ERWAN ! TE VOILA ENFIN REVEILLE ! ON T’ATTENDAIT !! » Dont la duplicité n’avait d’égal que le ton exagérément fort avec lequel il s’était exprimé.Quel besoin avait-il de gueuler comme ça ?L’absence conjointe de Théo et Margaux… les deux autres aussi innocents qu’un couple de renards avec des plumes dans le bec…J’avais beau avoir l’esprit encore un peu envasé par la sieste impromptue, il ne me fallut pas ...
... longtemps pour assembler les morceaux du puzzle et pour comprendre qu’il se tramait là-bas quelque chose de pas très catholique…Je me levai et me dirigeai vers la maison avec la ferme intension de mettre ça au clair…Dans la cuisine, je tombai sur une Margaux ébouriffée et passablement affolée, se démenant avec un dernier bouton.Nous nous sommes arrêtés, l’un en face de l’autre, à deux trois mètres d’écart.Elle est restée interdite, muette, tandis que mon regard allait de sa jolie robe chiffonnée, boutonnée de travers, à la porte entrouverte de la chambre qui se refermait lentement…« – Qu’est-ce que tu fais ? »« – Ben… euh… on a décidé d’aller à la plage… On t’attendait… Je suis rentrée mettre mon maillot… »« – Et Théo. Il est où ? »« – Il… Il dort dans la chambre… Il… Il avait trop chaud dehors… »« – Et tu t’es changée là ? Devant lui ? »« – Ben oui… Puisqu’il dort… »C’est là que j’aurais pu péter mon scandale…Lui dire qu’il ne fallait pas me prendre pour un con…Lui jeter à la face que j’avais très bien pigé qu’elle avait profité de la première occasion pour aller de nouveau se faire sauter par son amant… et sous les yeux des deux autres affreux, qui plus est !Lui dire que ça commençait à bien faire et que j’en avais marre d’être le dindon de la farce !Mais elle avait ce regard …Cet éclat dans l’œil, craintif et suppliant…Ce regard qui disait : « Crois-moi, chéri, s’il te plait… Ne fous pas tout en l’air… J’ai besoin que tu me laisses sauver les apparences… »Je n’ai jamais pu ...