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Brave Margaux… (ou quand le cocu tient la c
Datte: 16/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme
... prenant à mon tour le rôle du voyeur derrière les persiennes…Il n’y avait pas eu de round d’observation.Margaux était allongée en travers du lit, totalement dénudée.Fabien allait et venait déjà en elle.Agenouillés près de ses flans, les deux autres présentaient leurs phallus érigés et elle s’y agrippait comme à deux poignées de soutien tandis que le troisième la pilonnait frénétiquement.A travers la vitre close, je l’entendais gémir son plaisir…Elle braillait même par moment… enfin, lorsqu’elle avait la bouche libre…Car elle en profitait aussi pour gober alternativement l’une ou l’autre des grosses queues qui se tendaient pour elle.Non, il n’y avait pas de doute possible : Elle ne semblait pas le moins du monde forcée en quoi que ce soit. Elle participait de son plein gré à cette débauche orgiaque.Pire : Elle menait la danse !Car lorsque Fabien eut fini de s’épancher en longs jets blafards sur son ventre velouté, ce fut elle qui désigna Bastien pour lui succéder entre ses jambes tandis qu’elle mettait un soin particulier à nettoyer à grands coups de langue la verge ramollissante de son troisième amant.Bastien avait effectivement un sexe énorme.En le voyant s’enfoncer tout de go dans l’entrecuisse de celle que j’appelais encore ma femme, je me demandais comment il faisait pour ne pas lui faire mal, pour ne pas lui déchirer les tissus.Mais non.Le cri qu’elle poussa au moment de se faire embrocher comme une vulgaire volaille n’avait rien d’un cri de douleur mais plutôt un ...
... feulement de plaisir démesuré.Et tandis que Margaux hoquetait sous les puissants coups de butoirs d’un Bastien aux anges, c’est presque inconsciemment que je glissai une main dans mon pantalon pour saisir une érection que je n’avais même pas senti arriver.Et je me suis branlé.Je me suis branlé en regardant les trois affreuses bites se succéder dans la bouche de ma femme, dans le sexe de ma femme… dans le fondement de ma femme.Je me suis paluché en la regardant sucer avidement les verges offertes et avaler la semence des trois traitres.Je me suis masturbé en regardant les trois ignobles crier leur plaisir tout au fond d’elle ou répandre leur foutre sur sa peau dorée, sur ses petits seins pâles, sur son visage extatique ou dans ses cheveux emmêlés.Et par deux fois, j’ai souillé le mur de la maison comme elle souillait notre amour bafoué.J’aurais dû m’en aller, arrêter de me faire du mal, arrêter de mater cette orgie immonde, cette débauche de sexe abjecte mais j’en étais incapable.Il fallait que je reste.Il fallait que je voie de mes yeux l’énorme verge de Bastien écarter les chairs tendre, s’enfoncer et expulser le sperme qui s’y trouvait déjà pour mieux y déverser son propre flot.Il fallait que je constate le bonheur de Margaux lorsqu’elle se fit pénétrer à la fois par devant et par derrière. Il fallait que j’entende ses cris d’extase alors les deux colonnes de chair dilataient atrocement sa petite vulve et son anus dans un même élan.C’était presque hypnotique.Sans un improbable ...