1. Brave Margaux… (ou quand le cocu tient la c


    Datte: 16/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... surveiller un peu et de me tenir au courant aussi mais, il faut bien dire que ça ne m’intéressait guère.Ce n’est que lorsque j’entendis rire Margaux que je me rendis compte que je m’étais avachi sur la table depuis un temps indéterminé.« – Hé, chéri, tu dors! Vas donc te coucher, ce sera plus confortable ! »« – Mmm, oui je crois… et toi tu viens aussi ? »« – Oui, mon amour, t’inquiète pas. Vas-y, je te rejoins tout de suite. »Ben voyons !Mais que pouvais-je faire d’autre sans paraître indiscret et surtout superflu ? »Je suis donc allé dans la chambre où les deux lascars pionçaient en cœur.Finalement, ils n’avaient peut-être pas menti : Le voyage les avait terrassés… A moins que ce fut le rosé, comme moi.Je me suis donc couché seul mais l’esprit remis en éveil, je ne trouvais plus le sommeil.Margaux avait promis de me rejoindre rapidement mais le fait était qu’elle n’était toujours pas là. La discussion devait toujours être aussi prenante.Et, seul, allongé dans un silence relatif à peine perturbé par les respirations profondes de nos deux colocataires de circonstance, mon esprit vagabondait, échafaudait des hypothèses.Tant que j’étais là-bas, même de loin, je pouvais constater que Margaux et Théo ne faisaient rien d’autre que papoter. Je pouvais même capter quelques bribes de leur conversation : « Lauriane pensait ci, n’était pas ça… Tu aurais dû faire ci et surtout pas ça… Mais rien n’est perdu, il suffit de changer ça… tu crois que j’ai encore mes chances ?… Mais oui ...
    ... bien-sûr… etc etc…Mais là, n’entendant plus rien, ma nature soupçonneuse reprenait le dessus, inventait des scénarios…Et si Théo lui jouait le grand jeu de l’amoureux rejeté et éploré ?Avec son caractère de Saint-bernard, n’allait-elle pas vouloir le consoler, le réconforter ?Et alors qui savait ce qui pourrait arriver ? Peut-être attendaient-ils que tout le monde dorme pour…Non ! Arrête Erwan ! Tu te fais des films ! Il ne se passe rien !Ok mais quand-même… Ne devrais-je pas entendre les échos discrets de leurs paroles par la fenêtre entre-ouverte ?Or je n’entends rien ! Peut-être sont-ils enlacés dans le noir et peut-être ne disent-ils plus rien parce que leurs bouches sont occupées à autre chose !…N’y tenant plus, je me suis relevé et me suis avancé discrètement dans la cuisine obscure pour constater de visu.Même si ce que j’allais voir allait me faire mal, tout valait mieux que cette incertitude…Mais non.Ils n’avaient pas bougé. Ils ne s’embrassaient pas. Faiblement éclairés par la lanterne extérieure, ils continuaient à fumer tout en parlant.En retournant me coucher, j’étais soulagé. Soulagé mais furax contre moi-même : Quel idiot j’étais !Mais cela ne m’avait pas calmé pour autant.Quand on attend dans le noir, les minutes paraissent des heures et mon esprit retors recommença rapidement à vagabonder.Je me tournais et me retournais sans cesse dans le lit sans trouver le sommeil.Mais que pouvaient-ils biens se dire d’aussi passionnant ? Allaient-ils enfin finir par se coucher ...
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