Nicole, prête à tout (6)
Datte: 16/03/2021,
Catégories:
Transexuels
6. Je me réveillai doucement, avec l’étrange sensation de plus savoir où j’étais ni quand j’étais. Petit à petit, les souvenirs remontèrent à la surface. La partouze de la veille, l’amour que j’ai fait avec Jean-Charles puis Isabelle. A l’érection matinale s’ajouta l’érection provoqué par ses souvenirs de plaisirs partagés. Je décidai de calmer la douleur qui s’était emparée de mon membre par une bonne branlette sous la douche. Je m’habillai et descendit prendre un café à la cuisine. Une femme, brune, était assise dans un fauteuil du salon et ce ne pouvait être Isabelle qui était châtain clair, presque blonde. — ah, Nicole, me dit-elle en me voyant entrer dans la pièce. Je la dévisageai. — Jean-Charles ? — Charlène, je préfère. Et oui, il n’y a pas que toi qui s’habille en fille. Bon, pour tout te dire, tu n’es pas la première à passer entre les mains d’Isa. Seulement la deuxième. Allez, on va prendre un café. Je suivis Charlène donc jusqu’à la cuisine. Elle était perchée sur des escarpins à bride aux talons vertigineux, les jambes gaines de bas couture noirs, une jupe trop courte qui laissait deviner la lisière des bas et parfois l’attache d’une jarretelle. Sa perruque s’arrêtait en milieu du dos, sur un chemisier noir transparent ne cachant rien de son soutien-gorge. Lorsqu’on s’installa je jetai un coup d’œil à sa poitrine plutôt volumineuse et m’attardai sur son visage un peu trop maquillé, sans faire pot de peinture. — Isabelle a toujours fantasmé sur les travestis. Me ...
... demande pas pourquoi, je n’en sais absolument rien et elle non plus, je pense. Moi, c’est une chose qui ne m’avait jamais traversé l’esprit. Bien sûr que j’aime les dessous chics, mais de là en porter ! C’est venu bêtement. Un jour que je la regardais mettre ses bas, elle s’arrêta et me fixa. — pourquoi tu n’en mettrais pas aussi ? me dit-elle. Je suis sure que ça t’irai très bien. — ça va pas non ? C’est bien plus joli sur toi. Et surtout bien plus excitant. — et qui te dis que ça ne m’exciterait pas de te voir porter de la lingerie ? Je tombai sur le cul. — tu es sérieuse ? — oui mon chéri, mon amour. L’idée de voir un homme habillée en femme me faitmouiller comme tu n’imagines pas. — n’importe quoi ! — vérifie ! Tu verras. Elle s’approcha, prit ma main et la plaqua sur sa chatte. Et effectivement, elle était trempe. — là je ne fais que fantasmer. Imagine le jour où je te verrai en fille ! Ma transformation a commencé ce jour-là. Je posai une semaine de congé pendant laquelle Isabelle dépensa une fortune en vêtements et en patience pour faire de moi une femme acceptable. Lorsque vint le week-end, je me préparai toute seule et entrai dans la chambre. Quand je me suis penché sur sa chatte, elle coulait littéralement. On a baisé pendant trois heures. Depuis, dès que je reviens, je deviens Charlène. Je vis en femme, je sors en femme, je baise en femme ou je me gouine en femme. Et le lundi, je redeviens Jean-Charles, DG de la branche française d’une multinationale. Voilà, tu sais ...