1. 48 heures (3)


    Datte: 16/03/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... yeux, pour m’isoler au milieu de cet embouteillage, et des ondes de plaisir remontent de mon ventre, vers mes seins qui s’échappent de ma chemise, et irradient dans mes cuisses. Mon extase dure une vingtaine de secondes, et j’ai l’impression de sortir de mon corps… Jusqu’à ce qu’un coup de klaxon rageur me rappelle à la triste réalité. Le carrefour se dégage, et il y a dorénavant un grand espace libre devant mon capot… Rouge de confusion, je passe la première, et je démarre en trombe, sans avoir eu le temps de rajuster ma tenue. J’y remédie dans les minutes qui suivent, et c’est une prof de lettres modernes très convenable qui rentre dans les locaux de la fac. J’avoue tout de même que j’ai un peu la tête ailleurs, pendant mon cours. Heureusement, mes étudiants doivent penser davantage aux vacances, qu’à l’exégèse d’un texte de Camus… Dès qu’ils ont quitté l’amphi, je file aux toilettes. J’aurais préféré trouver un endroit plus original, pour obéir aux ordres de Juliette, mais je n’ai pas d’autre option pour l’instant. Une fois enfermée dans un WC, je défais ma chemise et ma jupe, et je les accroche à une petite patère fixée à la porte. Je suis nue. Et c’est déjà une sensation particulière et excitante de me retrouver en tenue d’Ève, sur mon lieu de travail, avec des étudiantes et des collègues qui discutent, de l’autre côté de la mince cloison. Je me caresse, en fermant les yeux, pour m’isoler mentalement, et savourer le ballet de mes doigts sur mes seins et entre mes ...
    ... cuisses. Petit à petit, la magie opère. Mes tétons dardent. Ma respiration s’accélère. Un filet de cyprine coule de ma fente. Les voix qui me parviennent ajoutent à mon excitation. Je reconnais celles de deux de mes élèves, puis d’une chargée de TD avec qui je travaille. Si elles savaient ce que je suis en train de faire… J’ai fermé le couvercle de la cuvette de WC, pour y poser un pied, et accéder plus facilement à mon intimité. Mes doigts coulissent frénétiquement dans mon fourreau, et je sens à travers la mince paroi mon bijou anal, dur, planté dans mon petit trou. Sa présence rétrécit mon vagin, et exacerbe mes sensations. Je suis en nage. Mon majeur touche mon point G, et une décharge électrique me secoue. Emportée par mon plaisir, j’insiste, je me doigte de plus belle. Et soudain, je suis foudroyée par un orgasme que je n’ai pas vu venir. Cette fois, je ne peux pas retenir un cri, que j’étouffe aussitôt en enfonçant mon poing dans ma bouche. Dans mon affolement, je renverse la poubelle placée à côté de la cuvette, dans un bruit de ferraille. À travers la porte, quelqu’un me demande si ça va, et je la rassure du mieux que je peux. Très vite, je prends quelques feuilles de papier hygiénique, pour essuyer sommairement ma chatte et mes cuisses, et je me rhabille. Je tire la chasse d’eau, et je sors. Deux étudiantes me regardent bizarrement, pendant que je me dirige vers les lavabos. En apercevant mon reflet dans la glace, je comprends pourquoi. Mon visage, couvert de sueur, trahit ...
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