1. 48 heures (3)


    Datte: 16/03/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... l’intensité du plaisir que je viens de prendre. Et je m’aperçois, affolée, que le rouge à lèvres qui orne mes tétons, avec la transpiration, a taché ma chemise. Certes, du côté intérieur, mais les marques sont bien visibles. Et impossible de me changer !… Contrairement à ce que j’avais prévu, je ne prends pas de repas à la cafétéria voisine. Trop de risques de me retrouver avec des collègues et des étudiants, dans cette tenue. Déjà, il y a cette maudite réunion, tout à l’heure… Je déambule aux abords de la fac, et je pense maintenant à la suite du défi de Juliette. Quelle conne j’ai été d’accepter ! Là, il va falloir que je me fasse jouir une deuxième fois, dans cette maudite université ! Je suis en train de passer en revue, dans ma tête, des scenarii tous plus irréalisables les uns que les autres. D’un autre côté, retourner dans les toilettes ne m’excite pas. Et soudain… J’aperçois l’homme chargé de l’entretien des bâtiments se diriger vers le local qu’il utilise, au pied d’un des immeubles. C’est un type de taille moyenne, aux cheveux blancs, avec un estomac qui tend son bleu de travail. Il est près de la retraite, et il a une réputation de voyeur chez toutes les étudiantes. Je dois dire que j’ai déjà remarqué son manège, lorsqu’il fait semblant de travailler et mate les filles en minijupes, cherchant à profiter du moment où elles s’assoient pour apercevoir leurs petites culottes – ou autre chose – et reluquant leurs poitrines. Avec les enseignantes, même jeunes, il n’ose ...
    ... pas trop, mais j’ai déjà surpris ses regards sur moi, lorsque je suis habillée un peu sexy. Une idée folle me traverse l’esprit, et sans réfléchir davantage, j’ouvre un peu plus ma chemise, et je me dirige vers lui. — Bonjour Jean, lui dis-je, avec un sourire que je veux coquin. — Bonjour mademoiselle. Beau temps, me répond-il, pendant que ses yeux s’abaissent vers mes seins. Il est surpris de ma démarche, car nous n’avons que peu de contacts, et il est hypnotisé par l’échancrure de ma chemise, qui ne laisse aucun doute sur l’absence d’un soutien-gorge. — Ça vous plaît de me mater ? — Mais, mademoiselle… bredouille-t-il, méfiant. — N’ayez aucune crainte. Je ne veux pas vous chercher des ennuis. Je n’ai rien contre les voyeurs, au contraire. Je veux juste savoir si vous aimeriez en voir davantage, dis-je en écartant un peu plus le col de ma chemise. Et même me regarder jouir. — Oh ! Mademoiselle… Vous me faites marcher. — Pas du tout. J’attends votre réponse. C’est maintenant ou jamais. — Et bien… oui, évidemment. Vous êtes très belle. Qui n’aurait pas envie de vous regarder. — Très bien. Une seule chose : interdiction de toucher ! Sur ces mots, j’ouvre la porte du local d’entretien, en vérifiant que personne ne nous voit, et je le pousse à l’intérieur. L’endroit est plutôt sordide. Une pièce sans fenêtre. Des murs en béton brut, sur lesquels Jean a collé des photos de filles nues, détachées manifestement dans des revues de charme. Des armoires métalliques, un établi, une table ...
«1...345...9»