48 heures (3)
Datte: 16/03/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... et une chaise. À part les photos, tout est gris. J’ai refermé la porte au verrou derrière nous, et Jean a allumé l’éclairage. Une lumière crue, blanche, diffusée par des tubes répartis au plafond. — Pourquoi vous faites ça ? me demande-t-il, n’arrivant pas à réaliser ce qui lui arrive. — Ce serait trop long à expliquer. Ne cherchez pas à comprendre. Profitez juste de cet instant, il n’y en aura pas d’autres. Je ramasse un chiffon, qui me semble moins sale que les autres, et j’essuie la chaise. Puis, lentement, en le regardant dans les yeux, je déboutonne mon chemisier. Je lis l’excitation qui monte dans ses yeux, au fur et à mesure que mes seins apparaissent, et l’étonnement, quand il aperçoit mes aréoles couvertes de rouge à lèvres. Moi aussi, l’excitation me gagne. Mes tétons se dressent. Je sens l’intérieur de mes cuisses qui s’humidifie. Je m’assois alors sur la chaise, je fais sauter les pressions de ma jupe, et je pose un pied sur la table, ouvrant grand la fourche de mes jambes. L’expression de son visage, quand ma chatte toute lisse s’offre à lui, en pleine lumière ! À elle seule, elle me récompense pour cette exhibition. Ensuite recommence le cérémonial de ma masturbation. Toujours semblable, et toujours différent. Tout en caressant mes seins, je passe une main légère entre mes cuisses, dans le sillon de mes grandes lèvres, découvrant doucement mon coquillage nacré. J’écarte mes petites lèvres, et mon index titille mon petit bouton, rose pâle, qui surgit de son ...
... étui. Face à moi, Jean me fixe de ses yeux écarquillés, et se caresse à travers son bleu. Une bosse le déforme, au fur et à mesure que mes attouchements se font plus audacieux. Je renverse la tête en arrière, faisant se dresser mes seins, pendant que je commence à me doigter. Mon majeur et mon index qui plongent dans mon abricot, en font sourdre le jus, qui perle sur mes lèvres et coule à la naissance de mes cuisses. Un bruit humide, familier, commence à accompagner la danse de mes mains, et je tourne la tête vers Jean. — Vous pouvez sortir votre queue pour vous branler. Ça ne me dérange pas. J’ai failli ajouter « au contraire », mais je me suis ravisée au dernier moment. Il n’a pas hésité une seconde, et déjà il ouvre son bleu. Il baisse son slip, et il sort sous mes yeux son sexe dressé. Si sa longueur est dans la moyenne, c’est son épaisseur qui me surprend. Une verge presque aussi large partout. C’est à peine si le gland est plus renflé. Sans le quitter des yeux, je continue de fouiller ma chatte. Ma jupe me gêne, et je déboucle la ceinture, pour pouvoir l’ouvrir entièrement. Mes fesses sont encore sur le tissu, mais Jean peut maintenant voir mon ventre plat, soulevé par les petits spasmes que fait naître mon plaisir. Nous regardons mutuellement nos sexes et, sans doute involontairement, le rythme de nos mains se synchronise. Je me surprends à aimer cette situation, cette exhib devant un "vieux voyeur" est infiniment plus excitante que je l’imaginais. Lui ne sait rien du plug ...