Résonance primitive 4
Datte: 30/10/2017,
Catégories:
fhh,
cocus,
vidéox,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
humour,
... te dis qu’on ne peut plus rien pour lui. Que de toute façon, il est en fin de course et que c’est mieux ainsi. Par contre, quand ça sort de la bouche d’un de tes potes de ton âge, tu te sens sur une autre planète. Est-ce que les femmes vont devenir comme ça ? L’idée me fait frémir. « Où sont les femmes ? Avec leurs gestes pleins de charmes. » Comment c’était le mec qui chantait ça déjà ? Patrick Juvin ! Ouais, c’est ça. Le disco, les années 70. Presque 80 même. J’aurais aimé être ado dans les années 70 plutôt que 80. Pas la même saveur quand même… En fait… Je n’en sais rien. Porté par des pensées en cascades hypnotiques, je me sens sombrer, léger comme une plume qui dégringole longtemps. Hélas, je ne toucherai pas le fond. Ça glousse dans ma chambre. Ça rigole aussi. C’est con, mais je guette les premiers gémissements et du coup, reste éveillé. Et ça ne loupe pas. C’est deux petites salopes sont en train de se frotter dans mon lit. Je change de côté et me cache la tête sous l’oreiller. Merde ! Je bande et les maudis. La nuit risque d’être longue pour moi. Évidemment, j’ai envie de les rejoindre. Sans déconner ! Déjà que la tentation de Manon est forte, mais là, le piège est double. Elle est plutôt pas mal, la petite Solène. Pas aussi fatale que Manon, mais un physique similaire et un joli visage. Brune, cheveux longs. Petite bouche, mais charnue. Du peu que j’ai vu, un beau petit cul. Je pense au double gode. Déjà, à son âge ? Je ne me souviens pas d’avoir été si précoce ...
... quand j’étais jeune. Putain ! Deux petites beautés prêtes à se transformer en supernova, à portée de bite, là, dans mon lit ! C’est inhumain. Je dégage une oreille que je n’ai pas besoin de tendre. Ça gémit fort, très fort, à côté. Et je pense à mes voisins. Demain, ou plutôt tout à l’heure, exfiltration en toute discrétion des deux petites salopes. Je n’ai pas peur pour ma réputation, mais les rumeurs vont si vite à enfler. Ça se calme, enfin. J’ai la trique. Une bonne branlette pour redescendre d’un autre niveau de conscience et puis dodo. Je m’astique depuis à peine une minute, quand la porte de la chambre s’ouvre sans prévenir, laissant pénétrer dans le salon de la lumière et Manon, nue. Faudrait pas qu’elle me touche. Je pense à sa mère. À la discussion que nous avons eue plus tôt pour faire descendre la pression. Mais seules des images de ma queue dans sa bouche, ou de sa chatte s’offrant à moi me reviennent. Je croise les doigts, doutant de mon abnégation. Manon cherche son sac à dos. — Ah ! Le voilà. Elle fouille dedans et en sort son gode-ceinture. — J’ai pas eu le temps de l’essayer du coup, me dit-elle en le secouant d’une main. Je la vois nue pour la première fois, soulignée en contre-jour par la lumière de la chambre. Elle est encore plus belle que je ne me l’imaginais. Sa poitrine est plutôt petite, mais ses seins semblent parfaitement dessinés, et ponctués de deux tétons foncés. La ligne de son ventre légèrement musclé, et son mont de Vénus se perd dans l’ombre ...