1. L'étalon aiguille (11)


    Datte: 17/03/2021, Catégories: Transexuels

    "Dis, quand reviendras-tu" Je fus réveillé en sursaut par le sentiment que quelqu’un sortait de la pièce. Me souvenant du dénouement de la soirée de la veille, je ne fus pas surpris de constater que j’étais blotti dans les bras de Tiffanny. Me sentant bouger, elle approcha son visage du mien pour m’embrasser. — Ce n’est rien, Darling, c’est juste Marie-Thérèse qui venait chercher ses vêtements avant de nous amener le petit déj’. — Huuuuuum…... Elle se tourna délicatement sur le côté et plaça sa jambe sur mon phallus, puis le caressa lentement avec celle-ci à travers le satin de ma chemise de nuit. Jugeant qu’il avait atteint des proportions satisfaisantes, elle s’allongea complètement sur moi et reprit ses mouvements, mais cette fois, c’est directement son sexe qui contribuait à faire monter mon excitation. — Je voudrais qu’on refasse l’amour, là, tout de suite, avant qu’elle ne vienne nous servir. — Mais, Tiff’, il peut arriver d’une seconde à l’autre ! — Non, elle en a pour une bonne dizaine de minutes. Come on, Sam, mais fais vite, je n’ai pas envie qu’il nous surprenne. Je veux que cette fois-là soit… notre secret ! Tout en parlant, elle avait retroussé ma chemise de nuit et dégagé ma verge. Elle s’empala elle-même sans plus de préliminaires et commença à bouger en cadence. Je la voyais se mordre les lèvres pour ne pas gémir. Très vite, elle se mit à accélérer le rythme en étouffant ses soupirs sur mon épaule. La serrant dans mes bras, je nous fis rouler l’un sur ...
    ... l’autre. Quand elle fut allongée sur le dos, je me cambrai un peu et me mis à la besogner en plaquant ma main sur sa bouche. Cette fille me faisait un tel effet que malgré tout ce qui s’était passé pendant la semaine et la soirée précédente, je n’eus pas la moindre difficulté à l’honorer ! Nous nous connaissions "physiquement" tous les deux depuis à peine une semaine, mais nous étions ce matin-là en totale communion. J’avais l’impression de ressentir directement tout ce qu’elle voulait, et elle de son coté, me caressait exactement comme j’en avais envie, sans que nous ayons l’un ou l’autre besoin de parler… J’appuyai juste ma main un peu plus fort sur sa bouche pour étouffer ses râles de plaisir et enfonçai ma tête dans l’oreiller pour jouir en même temps qu’elle sans être entendus. Je restai ensuite un moment immobile, mon sexe encore planté en elle. Je ne pus retenir un gémissement quand, malgré nos efforts conjoints, il sortit tout seul de son écrin pour cause de dégonflement naturel. Puis je commençai à faire glisser la bretelle de sa nuisette le long de son épaule. Elle comprit ce que je souhaitais et dégagea doucement son bras. Je découvris son sein et l’embrassai, le mordillai, le tétai comme l’aurait fait un nourrisson affamé. Elle me caressait les cheveux en retenant ses soupirs. Je n’avais pas le moins du monde à me forcer pour lui offrir la tendresse qu’elle semblait rechercher. Elle attira ma bouche contre la sienne et nous nous embrassâmes longuement, après quoi ...
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