1. Une généreuse maman (7)


    Datte: 19/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    Par la suite, avec ma mère, nous avons rattrapé le temps perdu. Enfin débarrassée de sa culpabilité, maman n’était plus accablée par les remords ; elle s’adonnait à la lubricité, se vautrait dans la débauche avec la même frénésie que moi, le même enthousiasme décomplexé. Nous poursuivions la même quête : la recherche du plaisir maximum, avec le souci permanent de satisfaire l’autre plus que nous-même. J’étais bien plus comblé quand je lui procurais des orgasmes à répétition que lorsqu’elle me faisait grimper aux rideaux, à l’aide de savantes gâteries manuelles ou buccales, plus raffinées et sophistiquées les unes que les autres. De tous les petits jeux sexuels que nous partagions, honorer sa chatte - ce temple sacré d’où je sortais et qu’elle me permettait de revisiter – demeurait ma plus haute priorité. Un de mes jeux favoris consistait à l’installer le cul au bord du matelas, les jambes à l’extérieur. Elle se laisser manipuler avec indolence, me laissait de disposer de son corps comme si elle n’était qu’une grosse poupée de chair à ma disposition. Quand j’étais satisfait par la posture que je lui avais fait adoptée, je m’agenouillais au pied du lit, et j’observais avec une attention passionnée son sexe qui baillait. Je ne la touchais pas ; je me contentais de profiter du fascinant spectacle impudique que m’offrait sa vulve déployée, avant d’enfouir mon visage entre ses cuisses grandes ouvertes. Je léchais sa fente de bas en haut, écartais les lèvres odorantes et baveuses ...
    ... avec ma langue, l’enfonçais dans son vagin, la faisait remonter pour laper son clitoris ; je lui dévorais la chatte à pleine bouche, gourmand, et elle soulevait son bassin, me tirait les cheveux comme si elle voulait les arracher par poignées. A force de la pratiquer, je savais où concentrer mon attention pour réussir une stimulation maximale de son organe. Toutes les zones sensibles, de la vulve à sa périphérie, n’avaient plus aucun secret pour moi ; soumise à la science de ma bouche experte, elle hurlait son plaisir sans retenue. J’étais émerveillé par sa capacité d’abandon, par sa disponibilité. J’avais envie de la baiser tout le temps. Du lever au coucher, je ne pensais à rien d’autre ; elle avait empoisonné mon esprit, et mon corps aussi. Quand je ne pouvais pas me repaitre d’elle - quand mon père rodait dans les parages -, je me branlais au souvenir de son corps malléable à souhait dont je pouvais disposer dans toutes les positions. J’en perdais la raison. Comme il faisait déjà chaud, je l’avais convaincue de ne porter que des petites robes légères, des tenues estivales vaporeuses que je pouvais lui ôter facilement. Je la pistais toute la journée dans la maison, la traquais, et quand je la trouvais, je la coinçais dans un recoin pour la caresser à travers ses vêtements. Je glissais mes mains dans sa culotte, sous l’élastique serré, pour prendre possession des lieux, et je me remplissais les mains de ses fesses. J’éprouvais une telle adoration pour le cul de ma mère que je ...
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