Une généreuse maman (7)
Datte: 19/03/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... ne me lassais pas de le toucher, de le tripoter, d’en flatter les contours aux rondeurs épanouies. Après, j’enfonçais deux, parfois trois doigts curieux, profondément, jusqu’à la butée du pouce, dans son vagin trempé, et je les faisais coulisser de plus en plus vite, dans un bruit de clapotement qui me rendait cinglé, tout en lui suçotant le bout des seins. Quand ses gémissements devenaient halètements, que je la sentais prête à tout, je la déshabillais complètement et l’entrainais en toute hâte sur son lit pour la saccager. Elle jouait le jeu à la perfection, endossait son rôle de mère incestueuse avec un naturel stupéfiant ; elle était en parfaite osmose avec mon désir inépuisable. Elle était devenue la raison d’être de son fils, à tous les niveaux, et elle s’en accommodait. La duplicité de maman me donnait le tournis, mais j’en éprouvais d’autant plus d’admiration pour elle. Elle vivait avec un parfait connard – mon père ! -, un fils de pute intégral qui la méprisait, mais elle avait pourtant réussi à l’apprivoiser durant toutes ces années, alors que lui-même était persuadé que c’était exactement le contraire. Comme le bac approchait à grands pas, il a bien fallu, le moment venu, que je m’y mette sérieusement. Quand maman a compris qu’il était impossible de me raisonner, que je ne pourrais jamais renoncer à la baiser, elle m’a proposé un marché. Elle venait dans ma chambre tous les matins sagement habillée, boutonnée jusqu’au cou pour ne pas me donner de fausses idées – ...
... j’étais si obsédé ! - et nous établissions ensemble le programme de la journée. Elle se montrait intraitable quant aux impasses à faire ; je devais réviser tous les sujets, dans toutes les matières. Je travaillais dur la journée, et, le soir venu, elle venait m’interroger pour contrôler mes acquis. Quand mes réponses la satisfaisaient, elle me récompensait selon l’effort que j’avais fourni. J’avais réalisé que son petit stratagème n’était rien d’autre qu’une sorte de chantage au résultat, mais elle avait compris que c’était le seul moyen de me faire travailler. Elle agissait en connaissance de cause, selon l’urgence du moment, et la suite a prouvé qu’elle avait fait ce qu’il fallait… Arriva le premier jour des examens. Je dormais encore quand j’ai senti comme un corps étranger, une présence qui m’a réveillé. Maman s’activait, sa bouche m’engloutissait. J’ai ouvert les yeux ; ma mère était accroupie au bord de mon lit, à moitie nue, et elle me suçait la queue. Elle s’appliquait, salivait abondamment, ne cherchait qu’à me faire jouir le plus rapidement possible. J’étais sidéré, mais étant donné son efficacité – elle suçait tellement bien ! - j’ai vite éjaculé dans sa bouche le bassin en avant. Elle a avalé mon sperme en déglutissant avec un rictus involontaire, s’est essuyée les lèvres d’un revers de main, m’a dévisagé de ses grands yeux curieux. — Ça va mon chéri ? Maman t’a fait du bien ? Tu es détendu maintenant, j’espère ! C’est le grand jour, n’est-ce pas ? Elle m’a gratifié ...