Épisode 2: Le mitan du début
Datte: 19/03/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
Oral
pénétratio,
fsodo,
sf,
... équipe avec la « belle Italienne », bonjour la galère ! Quand on leur avait annoncé ça, la veille du départ pour la station Isaac Asimov, Heinrich avait d’abord cru à une joke. Pas le genre de la maison. Devant le parterre de grosses têtes, il n’avait pas osé l’ouvrir. Ça avait gâché sa dernière soirée sur Terre. À la descente de la navette, s’armant de courage, il avait abordé C.S.-F. et lui avait demandé si elle pouvait le recevoir avant le départ. Elle n’avait pas répondu, le chassant d’un revers de main comme une mouche importune. Ils avaient eu ensuite, par l’intercom de la station, une communication fort animée pour la conservation de ses sourcils. Aussi fut-il surpris quand il reçut un message lui enjoignant de passer à sa cabine quand il en aurait terminé avec l’épilation totale. Point d’interphone, ni de porte à ouverture automatique ! Les conditions de vie sur la station étaient plutôt spartiates. Il dut frapper. L’attendait-elle ? Elle ouvrit rapidement. Elle l’invita à entrer et repoussa négligemment la porte. Être dans l’espace n’ôtait rien à sa sensualité. Là, où tout le personnel vaquait en combinaison et chaussures Sécurit, elle parvenait à conserver toute son élégance. Jupe toujours aussi osée : chevilles et mollets dénudés. Chemisier largement ouvert découvrant la naissance de son opulente poitrine. Ballerines noires à la griffe d’un grand chausseur italien. Elle le fit asseoir sur la couchette. Elle s’installa sur la petite table laissant pendre ses ...
... jambes. Leurs positions respectives ne devaient rien au hasard. C.S.-F. avait une idée derrière la tête. Mais laquelle : l’allumer, le mettre mal à l’aise pour dominer la discussion ou… La table plus haute que la couchette plaçait ses yeux à la hauteur des genoux joints, mais découverts de Sander-Farrell. En ce siècle, où le corps féminin était devenu tabou, elle lui offrait un spectacle des plus indécents. Dur pour lui de se concentrer. — Alors, monsieur Zeldon, vous vouliez me voir ? J’espère que ce n’est pas seulement pour me remercier d’avoir sauvé vos sourcils. Dommage d’ailleurs ! Je suis certaine que vous auriez été encore plus séduisant entièrement lisse. Alors pourquoi ? Encore ce drôle de regard, mais pas de blabla inutile pour autant. Droit au but. Il n’y avait pas de public ! Ça l’arrangeait, il détestait toutes ces circonvolutions diplomatiques. — C’est pour les équipes, il doit y avoir une erreur.— Une erreur ? Ça m’étonnerait ! Elle croisa les jambes et, posant son coude sur sa cuisse, tint son menton entre ses doigts, faussement attentive. Double effet ! Sa jupe remonta de dix bons centimètres laissant apparaître l’amorce des cuisses, son chemisier s’ouvrit généreusement dévoilant deux globes altiers soutenus par un soutif transparent. Heinrich commençait à se sentir à l’étroit dans sa combine. Rester concentré. — Venabili et moi, c’est forcément une erreur.— Certainement pas ! Tous les tests montrent que vous êtes complémentaires, l’équipe idéale ! Pour appuyer ...