Regrets
Datte: 20/03/2021,
Catégories:
fh,
inconnu,
nympho,
boitenuit,
danser,
jalousie,
noculotte,
Oral
pénétratio,
mélo,
prememois,
occasion,
... dénudée, frémissante d’impatience. — Allez, cochon, cesse d’effaroucher Marie, rentre-moi dedans, tu en as besoin. Je suis propre, n’aie pas peur. Viens et cette fois tue le démon qui t’habite, fous-le à plat pour huit jours. Oui, comme ça. Mon sexe est bon ? J’ai plongé. Il fait noir mais j’ai trouvé le trou du premier coup. Elle tirait sur ses fesses pour élargir l’accès à sa salle des fêtes et je m’y secoue à vive allure. On ne trouve pas tous les jours un havre aussi humide et accueillant. Elle ne se contente pas de subir. Pieds à terre, mains en appui sur la tôle, elle soulève son bassin, l’anime d’un double mouvement : une giration combinée à un va-et-vient à la rencontre de mes poils pubiens au bout de mes vingt centimètres de pénis gonflé à bloc. La chaleur du four, les torsions infligées et les encouragements vocaux de ma complice me mènent à un orgasme que Yolande partage. Reste-t-il encore du sperme en moi ? Yolande se réjouit de l’offrande, s’essuie avec un linge. Elle se retourne, ses deux mains me raffermissent et me présentent de face à son corps recourbé sur la voiture. Je m’enfonce, je vais et je viens, je force à la recherche du plaisir. Yolande me coince en elle, prisonnier de la tenaille de ses jambes. J’oublie l’heure, j’oublie tout, j’éjacule, elle attire ma bouche pour étouffer ses cris sur mes lèvres. — Allez, motus et bouche cousue. On ne se connaît pas. Prends ma carte avec mon téléphone. À bientôt bel étalon, ne m’oublie pas ! Je suis encore en ...
... train de refermer ma boutique quand de derrière la voiture sur laquelle je m’appuie monte la voix si douce de ma tendre Marie : — Alors Alex, c’était bon ? Au lieu de perdre ton temps avec moi, occupe-toi mieux de cette Yolande. Mais ne viens plus me parler d’amour. Tu ne penses pas sérieusement que je pourrais épouser un type qui tire son coup avec n’importe quelle dévergondée entre deux voitures. Si tu veux, il est temps de me ramener à la maison. À l’avenir oublie-moi. Sur le chemin du retour, dès les premiers ronronnements du moteur ma cavalière s’endort. Et tout à coup elle se réveille et me demande de m’arrêter. J’emprunte une allée forestière sur le côté de la route, stoppe. Marie demande mon aide pour sortir de la voiture. Il est temps, un flot jaillit de ses lèvres, tombe dans l’herbe et déborde sur la magnifique robe. Marie hoquète, s’accroche à mon bras, annonce sa mort prochaine. Je la soutiens pendant qu’elle expulse le trop plein et se laisse aller. Que faire ? J’ai un paquet de mouchoirs en papier. À la lueur des phares je nettoie le visage tout pâle, les mains souillées et l’avant de la robe. — Alex, allonge-moi sur la banquette arrière, j’ai froid.— Je vais vite te ramener chez toi.— Pas tout de suite, pas dans cet état. Ma mère va crier au scandale, me traiter de fille soule digne de son ivrogne de père et mes parents vont se disputer. Laisse-moi me reposer un instant. Sitôt couchée elle se rendort. Dans mon coffre il y a un plaid pour pique-nique. J’en fais une ...