1. Regrets


    Datte: 20/03/2021, Catégories: fh, inconnu, nympho, boitenuit, danser, jalousie, noculotte, Oral pénétratio, mélo, prememois, occasion,

    ... couverture. Et assis au volant, portes bouclées j’attends. C’est drôle, Marie ronfle. De temps à autre elle marmonne mon prénom « Alex » et continue à dormir. Elle s’agite, tourne et se retourne, geint, rit ou pleure dans son sommeil. Elle va prendre froid, elle s’est découverte. J’ouvre sa portière. Le plaid est tombé, la robe est remontée, elle est couchée sur le dos, une jambe contre le dossier, l’autre pend à côté du siège sur le plaid. Au clair de lune dans l’entrecuisse la tache blanche de sa culotte attire mon regard. Tout le bas de son corps est exposé. J’admire. J’admire le fuseau de la cuisse, le creux en haut, à l’intérieur, où niche habituellement le sexe qui ne peut être qu’adorable. J’appelle : — Marie. Elle ronfle. Alors je regarde de plus près ces chairs tièdes. Je caresserais volontiers la peau douce à l’approche de la jointure des deux jambes. « Marie. Pas de réponse. Un démon me pousse à profiter, je veux voir le trésor, le sexe qui un jour m’appartiendra caché par la bande de coton légèrement humide de la transpiration de la danse. C’est une petite femme, elle a dû connaître des émotions elle aussi au contact des membres virils avec son ventre, il y a sans doute dans l’humidité des traces de mouille. Dans mon pantalon grandit une vague de désir. Si mon doigt dégageait la vulve, la parcourait, la touchait à peine, je pourrais déposer un baiser sur les grandes lèvres, je pourrais savoir si elle est vierge. Un grognement sourd puis de nouveau la ...
    ... respiration régulière. J’approche mes yeux pour mieux voir. « Alex ». Elle rêve de moi. Elle était furieuse quand elle a vu mon coït avec Yolande. Elle s’est fâchée et je ne peux pas la blâmer. Mais tout n’est peut-être pas perdu. Elle réfléchira dans le calme, sa colère s’estompera, elle se souviendra des sentiments qu’elle m’a avoués. Si je veux conserver un maigre espoir d’obtenir son pardon et de me réconcilier avec elle, ce n’est pas le moment d’ajouter une connerie à la précédente. Donc malgré mon envie, je ne touche pas sa peau, je n’écarte pas le gousset de sa culotte, je ne découvre pas le jeune abricot encore acide, je n’examine pas son sexe, je lui laisse son mystère. Mes mains tremblent, ma vue se brouille, mes couilles me font mal. Mais pas question de me livrer à la dégustation en profitant honteusement du sommeil de Marie. Ce serait indigne. De toute façon, si j’étais assez dégueulasse pour me livrer à une tentative je ne pourrais plus me regarder dans la glace en me rasant. Et si je voulais, est-ce que je pourrais ? Yolande m’a vidé, je risquerais la panne. Ma raison, l’amour que j’ai pour Marie, les remords qui me rongent après ma faute avec Yolande, un reste de lucidité et de sens de l’honneur me poussent à ramasser le plaid et à recouvrir le corps endormi. Le dimanche après-midi je débarque dans ma future belle famille. On me fait la gueule parce que j’ai ramené, si tard, une Marie en si piteux état. Mon amoureuse a le regard fuyant, la mère grommelle et le père ...