1. La gêne et le plaisir - Partie 6


    Datte: 21/03/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... près de la cheminée et restes-y, debout les bras le long du corps. Tu as interdiction de bouger et de parler. Je restais ainsi immobile plus de quarante minutes, en contenant mon envie si forte d’uriner. J’espérais qu’il allait attendre la dernière minute pour m’autoriser à y aller, même dehors comme un chien. Il jetait fréquemment un œil dans ma direction, puis reportait son attention sur la télévision. Soudain, malgré moi, j’inondais mon jean. L’urine trempa mon jean, collant à ma peau, et alla même s’écouler sur mes chaussures à talons. - Interdiction de bouger, me rappela-t-il. Je finis de m’uriner dessus immobile, les larmes aux yeux. La dernière goutte fut délicieuse après m’être tant retenue. Je sentais la chaleur humide sur mes jambes et mes pieds, mes semelles qui trempaient dans la flaque qui s’était formée autour de moi. Damien éteignit la télévision, se saisit de l’appareil photo et me mitrailla. - Quoique tu dises, tu adores obéir, même si c’est crade et rabaissant. Je suis sure que là, tout de suite, tu as le clito en feu. Effectivement, mon sexe me lançait depuis qu’il avait commencé à me prendre en photo. Le sang pulsait dans mon clitoris, je sentais la chaleur affluer à mon visage. - Dehors ! m’ordonna-t-il. Je ne compris pas immédiatement. Il me désigna le jardin. Je me hâtais de sortir. - Déshabille-toi, m’ordonna-t-il en allumant le tuyeau d’arrosage. - Maître… suppliais-je, en vain. Je retirais à la hâte mes chaussures, mes vêtements sinistrés et me ...
    ... trouvais de nouveau nue et démunie face à lui. Il dirigea le jet d’eau glacé dans ma direction. Je criais et pleurais, tandis qu’il éclaboussait chacun de mes membres un à un. Quand il sembla considérer que je devais être assez propre, il coupa l’eau. - Est-ce que je pourrais avoir une serviette, Maître ? demandais-je en grelottant. - Tu peux très bien te sécher en courant. Je courais à petites foulées dans le jardin, frigorifiée, tandis qu’il rangeait le tuyau et rentrait dans la maison. Lorsque je fus à peu près sèche, j’allais à la porte, que je trouvais fermée. Damien n’était nulle part en vue depuis la porte et les fenêtres, et il avait bien entendu pris soin d’emporter mes affaires à l’intérieur… Il commençait à faire sombre et je ressentis une vive angoisse à l’idée d’être enfermée dehors dans l’obscurité et le froid. Je fis le tour de la maison en me couvrant comme je pu, de peur de croiser quelqu’un qui nous ferait une visite imprévue. Il me fallu traverser un buisson touffu qui séparait l’avant de l’arrière de la maison, en me prenant les pieds dans les racines et les cheveux dans les branches. J’arrivais devant la porte et me jetais sur la sonnette. Il prit un temps qui me parut interminablement long à venir ouvrir. - Mais où étais-tu passée ? s’inquiéta-t-il. Entre, tu dois être frigorifiée. Tu as oublié tes vêtements quelque part ? Il me tendit un plaid dans lequel je m’enroulais. Il alla s’assoir sur le canapé et me fit signe d’approcher. Je ne comprenais plus rien à ...