1. La bourgeoise et le danseur


    Datte: 22/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... d'habitude mais elle se montra très rêveuse, je l'épiais du coin de l'œil dans son fauteuil il était clair que quelque chose c'était produit. J'en ai eu la confirmation le lendemain matin en faisant ma toilette, la veille elle avait abandonné ses dessous dans le bidet de la salle de bains et ils étaient toujours la. Je me penchais pour cueillir sa culotte et je compris tout de suite en voyant l'entrecuisses mâchuré et raide de sécrétions séchées. Il y avait dans le fond de sa culotte bien plus que ses sécrétions habituelles, en clair elle avait baisé. Elle avait été sautée, par qui? Combien étaient ils? C'est vrai que la veille je l'avais trouvée un peu...comment dire? Pas saoule non mais vaseuse. L'avait on faite boire? Probablement pensais je. Ses collègues l'avaient faite boire c'est sur et ils en avait profité pour abuser d'elle! C'est évident. Tout en ayant ses pensées j'avais toujours la culotte à la main, je la portais à mon nez, elle sentait fort, une odeur mêlée de musc féminin et une autre aussi que je connaissais fort bien. Dans le même temps je pris conscience que je bandais, oui, je bandais! Cette situation m'excitait, j'avais en main la preuve de l'infidélité de ma femme et je bandais! Toujours ce poison qui s'insinue et vous porte vers des rives perverses, des contrées insoupçonnées de votre âme. Longtemps je restais la, la culotte à la main, la portant de temps en temps à mon nez, m'imprégnant de l'odeur forte et mêlée. Mon imagination courrait, je la voyais ...
    ... renversée sur un bureau, offerte les cuisses ouvertes et les males se succédant pour profiter de l'aubaine d'une femme offerte sans résistance. Combien étaient ils? J'en voyais forcément plusieurs, je savais qu'elle travaillait dans un milieu en majorité masculin. Je savais ce qu'elle m'en disait, que certains se montraient parfois entreprenants, avait elle résisté? Était elle tombée dans le piège? Avaient ils prémédité leur acte? Etait ce un complot pour l'amener à plus de docilité quand elle serait aujourd'hui en face d'eux et sachant qu'elle aurait cédé à tous? Je bandais! Je dus me masturber me sortir de mes rêves nauséeux. Mais le poison ne lâche pas ainsi ses proies, il revient à la charge dès que la raison faiblit. Je rêvais d'elle au prise avec les hommes, qu'ils furent ses collègues ou autres. Cela devenait mon obsession, je ne la voyais plus qu'ainsi, la proie des hommes. Avec le temps cela pris la forme d'un fantasme fort, maintenant je désirais voir ma femme dans une de ces situations, prise par un groupe d'hommes. Je bandais d'y penser, je me masturbais en montant des scénarios où elle était prise et reprise, baisée jusqu'à plus soif par des males en rut. Je l'épiais, la matais quand elle prenait son bain imaginant ses seins caressés ou palpés par des mains inconnues, ses cuisses fuselées ouvertes, des sexes qui la pénétraient, écartant sa vulve, écartant son vagin trempé. Elle avait un vagin très humide, parfois, la nuit, quand elle dormait, je glissais un doigt ...
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