Surprise à l'agence
Datte: 22/03/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
noculotte,
Oral
hdanus,
— Ah ! Bonjour Candy ! vous allez bien ? Vous êtes là un peu tôt, Pierre-Yves n’est pas encore revenu de son reportage.— Merci Amélie, ce n’est pas grave, je me doutais qu’il ne serait pas encore là. Je peux monter l’attendre à l’étage ? Oui, je savais bien que mon amour ne serait pas encore arrivé à l’agence et là était bien mon objectif. Me voilà à l’étage, sur le plateau où travaillent les journalistes de l’agence. Je salue les collègues de mon chéri, échange quelques mots sur le beau temps et le soleil éclatant. Christelle est là, elle est devenue mon amie depuis que notre relation avec Pierre-Yves est « officielle ». Nous sortons souvent ensemble « entre filles », nous partageons un peu de notre intimité et elle m’a aidée à échafaudé ce plan. Elle s’approche de moi, me fait un clin d’œil : — C’est bon Candy, je m’occupe de tout. Je me dirige vers les toilettes. Pousse la porte, pose mon sac sur le rebord des lavabos. Un peu de blush sur les pommettes, un vrai rouge sur les lèvres, je parfais mon maquillage et relève mes cheveux blonds sur le haut de ma tête. Je sors la petite trousse verte et me dirige vers l’une des cabines. Je ferme la porte, ouvre la trousse et en sort « les jumelles », ces deux petites magnifiques boules de geisha rose nacré. Je soulève ma jupe, retire ma culotte. L’excitation monte en moi, j’imagine déjà la surprise que va avoir Pierre-Yves et rien que cette idée a déclenché en moi une vive chaleur dans le bas du ventre. Je sens le sang affluer ...
... dans mon clitoris et déjà mon vagin lubrifie. Mon entrejambe est ruisselant et je n’éprouve aucune difficulté à enfourner les boules qui sont immédiatement aspirées dans mon intimité. J’aime cette sensation, je contracte mon périnée, les boules roulent vers le fond de l’utérus, y butent puis re-glissent aussi rapidement, emportées par des flots de cyprine, alors là, je recontracte et les boules montent à nouveau frapper avant de glisser à nouveau le long de mon col… sensationnel. Mes joues me brûlent, mes entrailles ne sont que volcan et mon cœur s’accélère dans ma poitrine. — Candy ? Tu es là ma chérie ? Christelle m’a dit que tu étais malade et que tu voulais que je te rejoigne, tu m’inquiètes ma chérie. Pierre-Yves est là, comme prévu, Christelle lui a demandé de me rejoindre. — Je suis là mon amour. Je pousse la porte de la cabine et me dirige vers mon homme pour l’embrasser, je me colle à lui et lui murmure à l’oreille : — Je vais très bien mon amour mais j’irai bien mieux ensuite. Pierre-Yves s’écarte légèrement, me regarde et prend mon visage entre ses mains. — Je te trouve très rouge et tes yeux sont pétillants, tu es sûre que ça va ? On dirait que tu as de la fièvre. La fièvre, c’est exactement cela, la fièvre s’est emparée de mon corps, elle me brûle de l’intérieur, chauffe sous ma peau, dévore mes entrailles… — Embrasse-moi mon ange. Tout en gardant mon visage entre ses mains, Pierre-Yves m’embrasse d’abord délicatement, puis avec passion tout en glissant sa langue ...