Surprise à l'agence
Datte: 22/03/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
noculotte,
Oral
hdanus,
... pénétrer. Je passe mes bras autour de sa taille, mes mains caressent ses reins qui se cambrent alors que sa queue me pénètre dans une cadence régulière. Mes doigts courent sur son postérieur, mon index parcourt la raie de ses fesses avant de pénétrer entre ses deux merveilleuses pêches et caresse son anus, l’effleure puis le pénètre. Mon amant apprécie, sa cadence augmente, mon excitation est croissante, le souffle de Pierre-Yves, la vigueur de son membre, le froid de la faïence ont raison de moi. Je me laisse porter tout fouillant le derrière de l’amant, et en lui demandant de me pénétrer plus fort encore et encore, le suppliant d’envoyer toujours plus profond sa verge dans le fond de mon intimité. La position assise, l’angle de mon corps sur le rebord du lavabo permettent à son sexe de me pénétrer toujours plus profondément. Pierre-Yves cligne des yeux, il retire son membre. Son gland rose est turgescent. Je l’avale, goulûment et avec délectation. Rapidement sa queue emplit la totalité de ma bouche, j’accélère le mouvement de va-et-vient, serrant plus fort mes lèvres, titillant plus encore ce merveilleux gland où tape le sang. Pierre-Yves ferme ses yeux, son corps se soulève, pris par de petits soubresauts. Un râle ...
... s’échappe de sa gorge alors qu’il se répand dans ma bouche par petites saccades. Je sens son sperme au creux de ma langue, épais, parfumé, je l’avale à petites gorgées. Je le sens tapisser mon œsophage, alors que mon amant béat me sourit et se perd dans de petits mercis timides. J’en redemande, alors que le sperme répandu dans ma bouche est avalé, je repars à l’attaque, suce à nouveau sa queue, repasse sur son gland afin de ne laisser aucune goutte. Nous nous redressons. Pierre-Yves me prend dans ses bras, nous nous étreignons dans un grand moment d’émotion et de tendresse. Dans les bras l’un de l’autre nous nous regardons dans la glace en souriant. Il est vrai que nous formons un joli couple, surtout là avec mes cheveux en bataille, nos joues empourprées et nos yeux pétillants de bonheur. Nous passons un peu d’eau fraîche sur nos visages, ajustons nos vêtements et nous recoiffons. Nous sortons des toilettes la démarche légère et le regard pétillant. le sourire ne nous a pas quitté. Christelle est là, elle me fait un clin d’œil, confus et gêné Pierre-Yves regagne son ordinateur en ne quittant pas les yeux du sol. Je prends congé, en jetant un « bon courage » et un « à tout à l’heure Pierre-Yves, je viens te chercher à 18h ».