1. La nuit du paradis


    Datte: 22/03/2021, Catégories: fh, couplus, extraoffre, profélève, fépilée, vacances, hotel, volupté, Oral piquepince, init, journal, ecriv_f,

    ... bleue auprès de la réceptionniste qui me regardait d’un air soupçonneux, (à cause de mes pieds nus) et presque envieux (Yane est vraiment un beau gosse), nous filions tout droit sans détour dans la chambre 26 préalablement visitée et où j’avais laissé mes claquettes trop bruyantes ! J’étais dans un état pas possible, deux heures avant, Yane était chez nous au camping, rien ne lui laissait présager la suite, pendant le repas je câlinais mon chéritoun, j’aime montrer au monde entier combien il compte pour moi, combien je le dévore d’amour. Puis j’ai raccompagné notre hôte comme convenu (avec chéritoun, on a pensé à tout !) jusque dans sa voiture. Après quelques hésitations, et la peur au ventre (peur qu’il m’envoie bouler), je lui ai demandé s’il aimerait que je l’embrasse. Surpris mais avec une étincelle dans les yeux il me demanda : — Et ton homme alors ? Ton chéritoun ?— Mon chéritoun il est d’accord, il sait même que nous avons déjà fait l’amour tout les deux. J’éclatais de rire, lui aussi en pensant que oui certainement nous avions déjà fait l’amour tout les deux mais virtuellement avec nos compagnons respectifs, lui dans ses Alpes et moi dans mes Pyrénées. Je m’approchais doucement, je sentais son souffle doux et irrégulier, sa peau fine et bronzée contre mon visage et enfin oui enfin ses lèvres, chaudes, humides, parfaites, bref du velours, puis sa langue, douce, ferme, un régal. Un baiser tout doux, délicieux, beau, et généreux nous enivra. Son piercing éveilla en moi ...
    ... une curiosité sans précédent… je voulais l’essayer ! Je sentais son parfum me transporter six mois en arrière sur les balançoires qui nous menaient tout en haut des pistes, je pensais à toutes les coquineries que nous avions faites chéritoun et moi durant les six mois d’attente qui me séparaient de ce moment, un défilé surprenant d’images, de sensations, et la voix de mon chéritoun : « Imagine quand tu seras un jour dans ses bras, les caresses toutes douces que tu prodigueras sur son torse, son visage, les caresses buccales que tu adores pratiquer… imagine… être avec lui… là… » Quel instant majestueux, délicat et si intense, embrasser mon beau moniteur qui nous avait donné tant d’orgasmes de Noël à la fonte des neiges ! Ce soir c’est moi qui fondais, je mouillais tellement, mon shorty n’allait pas pouvoir tout absorber, sûr ! Je m’approchais plus encore pour sentir son corps, sa chaleur, ses muscles, lui aussi se laissait aller glissant tout doucement vers le siège passager et effleurant mon sexe, mes cuisses tremblantes d’émotion. Je voulais sentir à mon tour son excitation et aventurai ma petite menotte en direction du volant, de son entrecuisse, mon instinct me disait : « bien sûr que son sexe est dur, long et doux, bien sûr qu’il a envie de toi, et, si tu es sage tu pourras le goûter tout à l’heure ». Oui, confirmation immédiate, bingo, youhou, son sexe était dur, j’étais ravie de constater son engouement pour moi, alors, il fallait enclencher la vitesse supérieure : — Que ...