1. La nuit du paradis


    Datte: 22/03/2021, Catégories: fh, couplus, extraoffre, profélève, fépilée, vacances, hotel, volupté, Oral piquepince, init, journal, ecriv_f,

    ... fais-tu ce soir ? lui murmurais-je dans le creux de l’oreille.— Je pensais aller me reposer tranquillement mais…— Je pense que mon chéritoun sera d’accord pour que nous puissions passer un agréable moment tout les deux, on en a déjà discuté, il sait que j’ai très envie de toi.— Oui, j’ai très envie… Yane était un peu abasourdi par la complicité qu’il y avait entre mon amour et moi, mais il était bien conscient de ce qui allait se passer cette nuit. — Je t’envoie un SMS d’ici une demi-heure… Sans même l’embrasser je descendis précipitamment de la voiture, je crois que je courais comme une dingue à travers le camping pour rejoindre notre cahute et y retrouver chéritoun. Lorsqu’il m’a vue débarquer, essoufflée, souriante, heureuse comme une gamine à qui on tend un bout de chocolat… il savait, il savait que notre plan avait fonctionné. Je pétillais, il m’admirait. — Tu es belle, tu rayonnes, il me tarde de savoir, raconte moi tout ! Il me fit asseoir au calme pour lui raconter tranquillement ce qui c’était passé entre Yane et moi dans sa voiture. Il devinait à travers mon regard tous les effets que Yane avait engendrés en moi, puis à ma surprise, introduisit un doigt entre mes cuisses pour y constater l’état de mon excitation. Une rivière semblait s’y être engouffrée, ce liquide translucide baignait mon petit minou depuis plus d’une heure déjà (qui a dit que les chats n’aiment pas l’eau ?). Sourire aux lèvres il me chuchota : — Allez, file, file avec lui, prend du bon temps, ...
    ... ramène-nous plein de bons souvenirs, une tonne d’excitation. Je t’aime fort mon amour, pense à nous… J’étais libre. J’ouvris mon portable menu SMS : «Viens me chercher, je t’attends sur le parking » Retour hôtel Je fermais la porte n° 26, doucement et dans la pénombre me dirigeais vers Yane. Il était adossé à côté de la fenêtre, la mer écrasait ses vagues juste en bas de notre nid, le ciel étoilé éclairait la terrasse, je ne voulais pas fermer les volets ni la fenêtre… peut être pour permettre au désireux de profiter du spectacle auquel nous allions nous adonner sans retenue, sans limite, jusqu’au bout, et pour que mes soupirs de plaisirs puissent traverser les quelques kilomètres qui nous séparaient chéritoun et moi. Je l’embrassais à la lueur des scintillements naturels, j’avais l’impression de le tenir là coincé contre le mur : non, tu ne t’échapperas pas, non je ne veux pas m’enfuir… J’ai calmement enlevé son pantalon, sa chemise, son slip pour voir enfin apparaître son sexe raide et tendu vers le ciel, et oui elle était dure, longue, et douce. La fermeture-éclair positionnée au dos de ma robe kaki ne tint pas cinq secondes et le tout glissa le long de mes reins, de mes fesses, de mes cuisses, jusqu’à mes pieds déjà nus. J’invitais mon amant à s’asseoir au bord du lit, je m’accroupis face à lui, son regard me troublait, je ne voyais pas le fond de ses yeux, pas de pupilles non plus, un regard pur et déroutant. L’angle du lit me fit bien écarter le sexe, je pouvais donc le ...