1. Mon voisin est un gros porc et j'aime ça. (1)


    Datte: 22/03/2021, Catégories: Hétéro

    ... qu’il fit en se penchant sur moi. Sa queue allait et venait et la pièce était remplie du bruit sec de ses cuisses contre mon cul et de mes plaintes de contentement. J’étais émerveillée par l’endurance de ce mec et je ne cessais de le complimenter : "Ah la vache, t’es un vrai mâle, toi, un vrai étalon. Vas-y démonte moi, ... ouiiii... baise-moi encore oh oui, comme çaààà... t’arrête pas". Et lui en rajoutait. — Prends ma queue salope, tu l’aimes, hein ? t’es une salope à bite toi. T’aime qu’on s’occupe de toi, qu’on te tronche... On a du retard à rattraper ma petite... mais je suis sûr que tu as encore faim. Et il s’en fut me chercher une des fameuse sucettes promises. Pendant que je la "dégustai" sans vraiment y prendre goût, il m’ordonna de me mettre à l’envers, à califourchon, sur une chaise, les bras appuyés sur le dossier et le cul dépassant de l’assise. "Tends encore un peu ton cul là... C’est bien... maintenant, donne-moi la sucette". Et il me l’introduisit dans le trou. "Oula, c’est froid"! — T’inquiète, ça va t’anesthésier et te lubrifier... d’ailleurs, je vais mettre un peu de gel. — Tu vas me.... je l’ai jamais fait... j’sais pas si... — Ta gueule. T’as promis.... T’es pucelle du cul... putain, j’ai du bol. Au moins j’vais avoir ce pucelage là. J’vais te déchirer en douceur... t’as bien compris que je suis pour le plaisir partagé.... tiens, finis la sucette. Et cramponne toi. Je remis la sucette dans ma bouche et je sentis mes chairs s’écarter ; "Aïe... tu fais ...
    ... mal. C’est trop gros... ça peut pas passer"! Il remit du gel et, très lentement me força l’anus. Quand le gland fut entré, il se mit à aller et venir plus rapidement. "Tripote-toi le minou, ça va t’aider". J’avais terminé la sucette. Ma bouche était pleine de foutre. De ma main libre je m’aidai. Le plaisir commençait à se répandre et, comme je le manifestai bruyamment, il accéléra. Comme il était un peu plus bas que moi, il donnait ses coups de bite vers le haut et me soulevait à chaque effort de ses reins. "Rhaaa, tu m’épuises, j’vais jouir... retourne-toi". Et il se retira : "A genoux... ouvre la bouche". J’obéis et le vit au dessus de moi, branlant sa grosse bite en faisant danser les couilles. Je vis jaillir une immense larme blanche et je fermai les yeux. Une lourde pluie tombait sur mon visage. Je reçus quelques gouttes chaudes dans ma bouche déjà toute poisseuse. Je rouvris les yeux au contact du gland sur mes lèvres. Il m’ordonna de sucer, mais c’était une précaution superflue car j’avais déjà attrapé le gros zob dont je réceptionnai toute le reste de la précieuse liqueur de corps d’homme. Il étendit le canapé en mode lit et nous nous allongeâmes côte à côte pour commenter nos exploits. Je me mis sur le coté, la tête au creux de son épaule et je le caressai lentement de ma main gauche, passant ma main sur ses tétons, son ventre, son épaisse toison toute humide de sueur, de salive et de sperme. Je jouai avec son gros sexe mou et visqueux, avec ses grosse boules... Lui, de ...
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