1. Mon voisin est un gros porc et j'aime ça. (1)


    Datte: 22/03/2021, Catégories: Hétéro

    ... sa main droite, me parcourait le flanc jusqu’à la croupe. Les poils de ses bras me frôlaient avec douceur. Je lui racontai ma vie si peu amusante avec Kévin et le complimentai pour m’avoir appris enfin ce soir ce que c’était que faire l’amour. "Tu es une très bonne élève". — Tu es très doué comme professeur. — Il te reste plein de choses à apprendre — Plein ? Dis-je d’un air mutin ? Il ne s’y trompa point. "Viens"! Je le suivis jusqu’à la salle de bain. "Hop, monte dans la baignoire.... à genoux..." — Et... mais ... que.... ? Trop tard, il était en train de me pisser dessus. "Arrête, c’est nul..." — Tu as promis, tu dois y aller... Et quand il eût finit : "Allez, suce moi la bite". Ça, je voulais bien... même si elle dégoutait encore d’une petite rosée d’urine au méat. Je pris donc le lourd paquet et le portai à ma bouche où il gonfla aussitôt. "A toi maintenant". Et il changea de place. Il s’allongea dans la baignoire et je me mis au dessus en manquant de me casser la gueule en glissant. "Je fais quoi là "? — C’est à ton tour, debout.... pisse -moi dessus ! — Tu veux que je te pisses dessus ? Mais t’es vraiment un gros taré ! — Pisse je te dis. Alors je lâchai tout. Quand j’eus terminé il se leva et vint se coller à moi. Nos corps dégoulinants, bloqués l’un contre l’autre, son ventre sur le mien et la grosse verge dressée contre ma peau, m’excitant... Nous eûmes quand même le droit de nous laver et de nous sécher avant qu’il ne m’emmène dans son lit. Il s’allongea. "Viens ...
    ... t’empaler sur ma queue". Je l’enfourchai, saisi la bite et la guidai vers le trou et me laissai descendre dessus avec volupté. Puis je me mis à aller et venir. De temps en temps, il donnait de grands coups de rein. Puis il se redressa. Je passai mes jambes croisées derrière son dos et, tout en l’embrassant du plus fort de ma langue jusqu’à ses amygdales, je me faisais tanguer sur son sexe. C’était fusionnel.... hyper puissant... je me dis que cela devait être extraordinaire avec un homme dont on aurait été amoureuse. Puis il se rallongea et me demanda de rester empalée mais en lui tournant le dos de façon, disait-il, à ce qu’il m’empoignât les nibards. Et tout en me balançant sur son sexe il me tripota les nichons avec une frénésie sauvage tout en m’accablant d’injures. C’était nouveau. Je n’avais jamais vécu cela mais, curieusement, je n’étais pas choquée. En effet, je n’y ressentais ni mépris ni dédain ni manque de respect, mais un rituel érotique qui m’excitait. D’ailleurs je lui rendis bien ses salacités en le traitant à multiples reprises de gros porc, de pompe à foutre, d’obsédé, de vicelard, de queutard et j’en passe. Ensuite il se mit debout. J’enserrai mes bras autour de son cou. Il me souleva par dessous les cuisses que je repliai dans son dos pour me sauter dans cette position. C’était génial mais je ne pus tenir longtemps. Alors il décida de m’allonger sur le côté , la jambe gauche allongée qu’il enjamba, la droite repliée et il m’enfonça comme cela. Il me tenait ...