Bienvenue à Lastoral (2)
Datte: 23/03/2021,
Catégories:
Lesbienne
... contre une colonne de pierre avant de venir presser son corps contre le mien et m’embrasse à pleine bouche. Me voilà prise entre le froid de la pierre et la chaleur infernale causée par Bianca. Elle finit par décoller son corps du mien. Ses mains s’aventurent sous ma blouse bleu ciel, au moment où ses doigts touchent mon ventre, une décharge me parcourt, je ne sais pas pourquoi, mais je repousse Bianca. — Quoi tu n’aimes pas ? — Bien sûr que si, mais il est temps de passer aux choses sérieuses. — Avec joie ! Sur ce, je jette ma blouse contre un tas de carton et me retrouve seins nus, car je ne vois pas l’intérêt de mettre un soutien-gorge, avec un poitrine aussi plate que la mienne. J’enlève mes chaussures et les balance en direction de ma blouse, pendant que je déboutonne mon pantalon bleu nuit, Bianca se débarrasse rapidement de sa salopette et de son tee-shirt blanc, trempé de sueur pour se retrouver nue face de moi, me laissant ainsi tout le temps de la regarder, comme pour graver cet instant dans ma tête. Ce qui me frappe en premier, c’est sa peau blanche, parsemée de grains de beauté. Des jambes fuselées tentent de cacher de grandes lèvres, entrouvertes, surmontées d’un pubis complètement rasé. De petites poignées d’amour commencent à faire leurs apparitions, j’ai une cruelle envie de les attraper. Ses petits seins ronds et fermes sont couronnés de petites aréoles sombres, tout cela réveille mon appétit. Ses longs cheveux châtains, ses lèvres charnues, son nez droit et ...
... légèrement retroussé à l’avant entouré par des joues rebondies, sans oublier ses longs sourcils foncés qui accentuent l’éclat de ses yeux, tout cela met en valeur son visage ovale. Je reprends mes esprits lorsque d’un mouvement franc, elle s’agenouille, emportant avec elle mon pantalon et mon slip. Une fois débarrassée de tout mes habits, je ne me sens plus oppressée par la chaleur ambiante. Le visage de Bianca se trouve à quelques centimètres de mon pubis à peine poilu. Sa langue écarte mes grandes et petites lèvres et bouge dans tous les sens, il n’en faut pas plus pour que je lâche des petits gémissements. Elle remonte légèrement jusqu’à mon nombril, sa langue tourne tout autour de lui et finit par s’y enfoncer, avant de déposer plusieurs baisers sur mon ventre. Maintenant, c’est au tour de mes seins, sa langue joue avec mes tétons durs comme la pierre, et finit par les mordiller du bout des dents. Elle continue sa remontée, ses lèvres sont encore humidifiées par le mélange de ma cyprine et de sa salive. Quand elle vient déposer un long baiser dans le creux de mon cou, un frisson me parcourt. Nous voilà face à face, je la prends de vitesse et l’embrasse avec passion. Je profite de cette occasion pour lui attraper ses cheveux soyeux et tirer sa tête en arrière, avant de lui chuchoter à l’oreille d’une voix douce, mais autoritaire. — Je te l’ai dit non, fini de jouer. Sa réponse ne se fait pas attendre. — Montre-moi ton côté bestial et fais de moi ta chienne, dit-elle d’une ...