1. Première rencontre


    Datte: 31/10/2017, Catégories: fh, jardin, facial, Oral pénétratio, totalsexe,

    Des histoires coquines, vous en avez tous lues. Certaines au contexte purement imaginaire, des vécues, des trop stéréotypées pour vraiment y croire. Il y a toutes ces histoires dont on voudrait être le héros, celles qui laissent ressortir de nous ces choses inavouables, ces désirs que l’on ne veut pas nommer. Après tout, soyons honnêtes, le prénom du joli petit cul qui vient de passer devant vous il y a cinq minutes, on s’en moque, pas besoin de le connaître pour la prendre en levrette. C’est ça mon histoire : une rencontre fortuite, du sexe sans ambiguïté, sans l’hypocrisie des sentiments. Et encore du sexe. Je ne suis pas un athlète au corps de rêve, ni un apollon. Elle n’était pas mannequin ni actrice du X, elle était mignonne comme de nombreuses femmes que l’on peut croiser chaque jour. Mais faut-il être tout cela pour vouloir encore et toujours hurler de plaisir? Cette histoire commençait un soir d’été. La chaleur de la soirée invitait à prendre un verre. Évidemment, je n’étais pas le seul à avoir eu cette idée. Les rues étaient clairsemées de touristes, de badauds. Les gens discutaient de tout et de rien, se faisaient la cour. Je fis alors une halte dans un parc boisé. Assis à un bout d’un banc, je remarquai la jeune femme qui vint s’installer à l’autre bout du mien. Un visage si mignon, une tenue séduisante, il ne m’en fallait pas plus pour me présenter. Ce qu’elle fit en retour. Nos deux sourires durent nous plaire car nous bavardâmes, échangeant quelques banalités ...
    ... qui nous apprirent que nous habitions le même quartier. Ce sourire… Il était clair que la soirée ne devait pas se terminer maintenant. Et elle pensait la même chose à mon sujet, on ne peut pas faire un tel sourire à un homme impunément. Je ne fais pas vraiment cet effet aux femmes au premier abord, mais avec elle, son sourire mutin, cette façon de jouer avec ses cheveux et… l’ai-je imaginé ? Ou a-t-elle ôté discrètement un bouton de son chemisier? Mes sens s’éveillèrent sans ambiguïté. Pour tout dire, je l’aurais volontiers plaqué contre le mur du fond du parc, remontant sa jupe, cambrant son dos, glissant mes mains sur ses hanches, avant de me glisser en elle. Avouons, je suis là pour tout vous dire, que je n’aurais pas refusé un début de fellation avant, histoire de me faire comprendre qu’elle n’avait pas froid aux yeux et, même avec le risque de se faire prendre, qu’elle acceptait volontiers d’être l’assouvissement du désir sexuel de ce charmant monsieur que je suis. Quelques coups de reins plus tard, j’aurais été haletant, et elle encore en attente mais comment retenir ma pulsion face à un si joli brin de femme à qui il faut un quart d’heure pour se donner à un inconnu dans un jardin public. À la vérité, elle méritait bien mieux qu’une levrette qui n’aurait eu d’autre finalité que de me vider. Dans mon imaginaire, c’était le genre de fille à qui il faut une excitation savamment dosée si on veut avoir dans un son lit une femme sans inhibition. Peut-être est-ce machiste mais ...
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