Première rencontre - Histoires de Sexe

Première rencontre

... un orgasme. Même dans les clubs pour « grandes personnes », on ne doit pas être aussi direct. Donc, je ne me fis pas prier et sans délai aucun, je mis ma tête entre ses cuisses et commençai à jouer avec son clitoris. Au premier contact, ce fut un hurlement. Pas un cri, pas un soupir de soulagement, un hurlement bestial de plaisir. Son corps devait bouillir d’impatience qu’une langue vienne toucher son clitoris. Je ne me suis jamais senti très sûr de moi dans cette pratique qui me plait pourtant beaucoup. Autant je sais jouer de mes baisers et de mes mains sur le corps d’une femme pour réveiller ses sens, autant jouer avec son sexe m’a toujours paru être une tâche que je ne maîtrisais pas. Mais elle avait su réveiller en moi des talents cachés, ou aurait-elle fait feu de tout bois ? Ces questions ne durèrent que quelques secondes. Comment ne pas profiter de ma langue faisant rouler son clitoris, comment ne pas caresser les parois de son intimité, comment ne pas jouer avec ses lèvres ruisselantes d’un désir que je buvais moi aussi à la source. Elle s’ouvrait à moi sans retenue, ses bras derrière sa tête, ouvrant son corps. À un moment, elle se mit dans la posture que j’aime le plus dans le cunnilingus : légèrement redressée, ses mains posées sur ma tête de telle sorte que je ne pouvais plus bouger, à peine respirer. De mon côté, je croyais pouvoir la maintenir dans un orgasme ininterrompu jusqu’à la suffocation, mais il n’en était rien, je le compris quand la pression de ses ...

... mains se fit encore plus insistante, comme si je devais redoubler d’ardeur à lécher son clitoris, à faire coulisser ma langue en elle comme s’il s’agissait de mon sexe. Une fille si désireuse, je me doutais bien qu’elle avait déjà connu l’amour côté pile et côté face, et sûrement en même temps. Non pas que chaque fille mignonne soit forcement autant portée sur le sexe ou bien qu’une fille si désinhibée doive l’être avec plusieurs hommes. Mais lors d’un cunnilingus qui n’a d’autre ambition que de durer longtemps, je ne devais pas jouer avec son anus, question d’hygiène ! Mais j’en avais très envie, et me doutais bien qu’elle y trouverait de l’excitation. Alors je finis par céder, me disant qu’il serait toujours temps de faire marche arrière. À petits coups de langue pointue, petit à petit, je léchai le bord de son anus, avec délicatesse. Cela lui fit l’effet d’une décharge électrique tandis que mon pouce, lui, continuait à jouer avec son bouton d’amour. Inutile de dire que mon érection était revenue depuis belle lurette et que je sentais mes bourses à nouveau prêtes à jouir sur son merveilleux visage. Ou n’importe où sur son corps. Je mangeais à satiété le plus beau pubis du monde, d’une femme hurlant un plaisir intense vécu sans retenue. Mais je suis un homme et je commençais à fatiguer. Je voulais la prendre, là au milieu du lit, tout simplement, en missionnaire. Mon sexe dressé, entrant en elle pour de puissants va-et-vient, rapides, n’hurlant qu’un seul désir : celui d’en ...