1. Soirée de liberté


    Datte: 25/03/2021, Catégories: fh, extracon, inconnu, jardin, noculotte, Oral préservati, pénétratio,

    ... suite : — Une belle femme comme vous, un baiser serait un bon prix si je devine vos pensées.— D’accord, dis-je après une seconde d’hésitation. Il s’approche un peu plus de moi et se penche à mon oreille. Il me murmure ces mots d’une voix rauque, une voix à faire fondre toutes les femmes de la terre, et surtout une voix à me faire mouiller intensément. — Vous étiez en train d’admirer mon corps et vous auriez aimé le toucher. Vous vouliez que nos corps se rapprochent, mais vous n’avez rien fait parce que vous êtes une femme bien éduquée et aussi parce que vous aimez prendre votre temps. Vous avez peur de moi et je vous attire en même temps. Vous mourrez d’envie de me sauter dessus, mais vous ne le ferez pas. Vos yeux brillent de désir et votre bouche tremble de l’envie de m’embrasser. Je suis également certain que votre culotte est maintenant trempée et que vous ne savez plus dans quel trou de souris vous mettre. Est-ce que je continue ? Il s’écarte un peu de moi. J’en ai le souffle coupé et le rouge me monte aux joues. Je baisse les yeux vers mes jambes qui peineraient à me soutenir si j’étais debout. Je prends conscience de l’humidité qui a effectivement gagné mon intimité. Je ne sais pas quoi répondre à ce Don Juan de Steve qui semble se croire le maître du monde. Je panique un peu. Je relève les yeux et croise le regard de Paul de l’autre côté du bar. Il devait me regarder depuis un bon moment et a sûrement remarqué mon trouble qui s’accentue à l’idée qu’il ait pu voir ...
    ... Steve se pencher à mon oreille. Mais Paul me sourit tranquillement. Il est toujours aussi bien accompagné et semble passer une bonne soirée. Son regard est doux et rieur. Il m’envoie un baiser silencieux et presque invisible qui me rassure, avant de détourner les yeux vers sa conquête. C’est le signe que je peux continuer, que je n’ai pas à m’inquiéter. C’est alors que je m’inquiète, mais pour une autre raison. Qu’est-ce qui m’a pris de mettre des collants sous ma jupe ? Je me sens un peu ridicule, maintenant qu’un homme tente sans l’ombre d’un doute de me draguer. S’il lui prenait l’envie de regarder mes dessous, il verrait vaguement une culotte blanche au travers d’un collant qui rendrait la vue plutôt floue et inintéressante. Fébrile, je me lève et me précipite aux toilettes avec un bafouillement d’excuse à Steve qui ne comprend pas grand chose à mon attitude. Aux toilettes, je m’empresse d’enlever mes souliers et de me défaire de l’importun collant. Ne sachant pas trop qu’en faire, je le jette en boule par terre. Je me rajuste vite fait, juste le temps de constater l’état de ma culotte. Elle est trempée. Autant dire qu’elle ne me sert plus à rien. Alors je l’enlève et je la fourre dans mon petit sac à main. Les fesses et la chatte à l’air, je frissonne au moindre courant d’air et je n’ose plus faire aucun mouvement brusque, de peur de voir s’envoler ma jupe évasée comme une fleur dans le vent et ainsi dévoiler un bien étrange pistil. Mais je préfère cet inconvénient à la ...
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