1. Soirée de liberté


    Datte: 25/03/2021, Catégories: fh, extracon, inconnu, jardin, noculotte, Oral préservati, pénétratio,

    ... chaleur insoutenable de l’humidité qui se frotte à mes chairs fragiles. De retour dans la salle, je peux voir que Paul est toujours assis au bar avec la belle femme aux cheveux noirs. Vu le peu de distance qu’il reste entre eux, je dirais qu’ils en sont presque rendus aux échanges intimes. Mes amis sont effectivement partis, sans me dire au revoir, peut-être parce que j’étais trop occupée ou trop mal occupée ? Je suis donc pratiquement seule avec Steve. Personne ne viendra me déranger ni me demander comment je vais. Personne ne viendra contrecarrer mes plans. Mais quels plans au fait ? Je retourne à la place restée libre auprès de mon séducteur. Il m’attend sans impatience. Quand je m’assois, il me détaille de haut en bas, comme si mes vêtements étaient transparents et il me dit avec un grand sourire : — Merci.— Merci pour quoi ? Il se penche très près de moi et me murmure : — Merci d’avoir ôté votre culotte. La confusion la plus totale me gagne. Est-ce que j’ai laissé entrevoir mon minou quand je me suis assise ? A-t-il un don de vision ? M’a-t-il vue dans les toilettes ? Comment peut-il savoir ? Je rougis une fois de plus et je ne sais plus quoi répondre. Il a un rire doux et apaisant. Il pose sa main sur mon bras et me lance : — Ça se voit dans la manière dont vous marchez.— Ah, bon, c’est que… il fallait… enfin vous comprenez… tout à l’heure…— Tout à l’heure je vous ai fait de l’effet, c’est ça ?— Pour tout vous dire, oui.— Pourquoi rendre les choses compliquées ? Je ...
    ... vous désire depuis que je vous ai vue. Si vous me désirez aussi, où est le mal ?— Il n’y a pas de mal, c’est juste que vous semblez si…— Je suis si quoi ? demande-t-il en souriant en coin.— En tout cas, ce que je veux dire, c’est que vous jouez avec moi, vous êtes un séducteur, voilà !— Dans votre bouche, on dirait presque une insulte. Pourtant, je n’ai rien fait de plus que répondre à votre appel. Vous étiez là, debout, et tout votre corps m’appelait. Qu’est-ce que je pouvais faire ? Je ferme les yeux. Cet homme me fascine et me tient sous son emprise. Ses mots sont comme des centaines de petits fils qui me retiennent aussi sûrement qu’une paire de menottes et qui m’empêchent de m’enfuir. Je ne veux pas partir. Sa voix m’enivre. Son regard me possède. Et même son parfum m’obsède. Une odeur fraîche et forte à la fois, une odeur si envoûtante, si proche. Je me sens entourée de sa présence. Mon corps tremble légèrement. Je le désire comme je n’ai pas désiré depuis longtemps. — Viviane, êtes-vous toujours avec moi ?— Oui, je suis là, dis-je en ouvrant les yeux. J’appréciais le moment. Il se penche un peu plus et sa bouche se rapproche dangereusement de la mienne. Mes lèvres se tendent vers les siennes. Mon corps tout entier lance un appel primal au sien. Mes yeux sont fous de désir et lorsque je plonge mon regard dans ses yeux bleus, je vois un désir équivalent qui brûle en lui. Nos lèvres se touchent à peine et déjà un frisson de plaisir se propage dans tout mon corps. Sa langue ...
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