1. Visite au Mont Saint-Michel


    Datte: 26/03/2021, Catégories: fhh, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio,

    ... Saint-Michel. — Je monte à l’arrière avec Serge, a dit ma femme, alors que nous atteignions notre voiture.— Bien sûr, ma chérie ai-je approuvé. Elle s’est installée à l’arrière du véhicule, Serge à sa droite. J’ai fait mine de régler le rétroviseur avant de démarrer, mais en fait je l’ai positionné directement sur le couple. À peine avais-je commencé à rouler que mon épouse l’attirait déjà à lui. À mon grand émoi, je les ai vu s’embrasser fiévreusement. La traîtresse pendue à son coup lui prenait goulûment la bouche. C’est ma femme qui m’a initié aux plaisirs du baiser. Pour moi, avant de la connaître, ce n’était juste qu’une caresse d’approche, un préliminaire léger. Pour elle, c’était un acte sexuel à part entière. J’avais appris avec elle, à goûter avec ivresse sa langue de miel. Nous pouvions passer de longues minutes bouche contre bouche à nous dévorer avec délices. C’était un préliminaire obligatoire aux préliminaires amoureux. Tout au long de nos ébats nous restions le plus souvent unis ainsi à nous goûter l’un l’autre. Et voilà qu’elle initiait un nouvel homme ! J’avais un mal fou à fixer ma route avec attention, tant mon regard se trouvait irrésistiblement attiré par les deux corps qui à l’arrière, s’étreignaient. Je le voyais, avec trouble, tripoter les seins de France. Il avait, avec adresse, déboutonné les deux boutons du haut de la robe de ma femme, et il massait voluptueusement sa poitrine gonflée. Je les écoutais geindre et haleter, avec une excitation ...
    ... allant grandissante et ma conduite en devenait dangereuse. Il avait maintenant glissé une main entre ses cuisses et j’avais un grand mal à détourner mes yeux du spectacle de mon épouse se faisant doigter franchement. Heureusement que la distance nous séparant de Pontorson n’était que d’une dizaine de kilomètres, car je pense que nous aurions fini hors du chemin ! Serge a demandé de faire une halte à la pharmacie. Il devait se fournir en préservatifs. Nous nous sommes retrouvés seuls un bref moment. En me retournant vers elle, j’ai constaté avec trouble son débraillé vestimentaire. Heureusement que la rue était vide de monde, car elle était restée telle qu’il l’avait laissée. Totalement impudique, les seins presque sortis, la robe largement déboutonnée sur ses cuisses franchement écartées, avec le pan de son slip arachnéen largement sur le côté, ses chairs roses et nacrées exposées de manière obscène. J’ai dit : — Que tu es belle, comme ça ! Elle a eu un sourire de contentement très sensuel. — Tu aimes ?— Tu fais très salope. J’ai l’impression qu’il t’a bien doigtée ma cochonne !— C’était trop bon !— Il me semble que tu es bien mouillée ! Fais voir. J’ai passé mon bras entre les deux sièges, le doigt tendu vers l’arrière. Elle a glissé son bassin pour venir au-devant de moi. J’ai fouillé la fourche de ses deux cuisses, il était tout gluant de mouille. — Tu n’as pas honte, ma chérie, tu as la chatte toute baveuse ! Ça ne t’a pas gênée de te faire caresser ainsi devant ton mari ?— ...
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