Visite au Mont Saint-Michel
Datte: 26/03/2021,
Catégories:
fhh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
... Nullement, au contraire, ça m’a énormément excitée. D’ailleurs je suis certaine que tu es dans le même état et joignant le geste à la parole, d’un geste prompt, elle a porté sa main par delà les deux sièges avant, vers mon entrecuisse. Elle a empoignée ma queue tendue depuis un bon moment et m’a branlé vigoureusement.— Je vois que tu es dans un bel état ! Nos bouches se sont retrouvées un moment, cependant que Serge revenait. — J’ai apporté des munitions, nous a-t-il annoncé en exhibant sa boîte de préservatifs.— Je vois qu’il y a de quoi faire ! ai-je ajouté. Nous avons ri tous les trois de bon coeur. Puis nous avons repris la route, France déjà lovée entre les bras de son amant. Un ami nous avait prêté pour une semaine une somptueuse demeure. Et nous nous apprêtions à la partager avec un autre homme. Et cela m’enchantait. Après ma crise de jalousie du départ, mes fantasmes avaient repris le dessus et je rêvais de la voir prise par cet autre. Quand nous sommes parvenus au salon, j’ai proposé un verre. Ma femme a demandé un whisky bien dosé, la même chose a rajouté Serge. Ils s’étaient déjà assis côte à côte sur le canapé, se tenant toujours par la main. Volontairement, j’ai mis du temps à servir nos trois verres d’alcool. J’avais généreusement rempli celui de ma femme, car je savais par expérience que cela la rendait toujours plus amoureuse. Je les avais laissés seuls un long moment, pour faciliter encore plus leur approche. Surpris, j’ai failli renverser mon plateau ...
... quand je suis rentré au salon. Les choses avaient drôlement évolué entre eux ! Il tétait goulûment un de ses seins et de sa main gauche, avait largement écarté le fond de culotte de France. Je voyais avec fascination ses doigts habiles s’activer avec douceur entre les lèvres humides de la fente béante. Ma femme, la tête renversée, les yeux clos, gémissait doucement, cependant qu’il titillait avec douceur son petit bouton rose. Ses cuisses étaient largement écartées pour mieux apprécier la caresse et ses chairs luisaient de mouille odorante. Mon irruption dans la pièce ne l’a semble-t-il pas gêné, car après avoir brièvement relevé la tête, il a continué à glisser de plus en plus vigoureusement ses doigts dans le minou luisant de mon épouse. Ça me faisait bizarre de regarder l’être le plus cher et le plus intime qui soit, se laisser aller ainsi, entre les bras d’un autre. Ma queue s’était du coup tendue et faisait une bosse obscène sous mon pantalon de toile. J’ai posé le plateau sur la table basse en disant : — Ces messieurs dames sont servis ! Je fixais avec trouble, le doigt allant et venant entre les chairs nacrées et humides de ma chérie. Ma femme ondulait du bassin de manière obscène, son clitoris visiblement durci. J’avais pensé que mon irruption dans le salon, avec les boissons, allait les interrompre un peu. Mais au contraire, mon épouse, jusque là passive, a glissé sa main vers l’entrecuisse de son amant et a étreint vigoureusement son sexe entre ses doigts. C’était la ...