Visite au Mont Saint-Michel
Datte: 26/03/2021,
Catégories:
fhh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
... première fois que je voyais France branler un homme devant moi. Je n’en croyais pas mes yeux. L’émotion me suffoquait. Un instant, elle a entrouvert ses yeux et, comme nos regards se sont croisés, elle m’a souri avec complicité. Je ne sais ce qui m’a pris, mais j’ai crié, la voix rauque de trouble : — Sors-lui sa queue ! Elle ne se l’est pas fait répéter deux fois, avec fébrilité elle l’a débraguetté et a extrait le bel objet quelle avait si amoureusement malaxé. Ses longs doigts manucurés ont parcouru la longue colonne de chair avec sensualité. Serge s’était cabré sous la caresse. Il avait une bite plus longue et surtout plus épaisse que la mienne et j’ai lu dans le regard avide de ma femme, un contentement qui m’a fait mal, un instant. Elle allait sûrement apprécier ce gros calibre. Maintenant ils se prodiguaient l’un à l’autre du plaisir et leurs deux souffles s’exprimaient bruyamment et à l’unisson. J’étais en transes et mon coeur affolé battait la chamade. Nous avions tant rêvé de vivre une situation pareille. Tant fantasmé, tous les deux, elle d’un nouvel homme et moi, de la voir entre les bras d’un autre ! Son regard toujours accroché au mien, un léger sourire narquois aux lèvres, elle astiquait avec un plaisir non dissimulé la belle tige vivante. Sa main habile malaxait, triturait, englobait avec adresse et sensualité la splendide queue. Ses doigts manucurés virevoltaient sur la longue tige, englobant par moment, l’énorme gland luisant du liquide pré-séminal. J’avais ...
... souvent imaginé ce genre de situation, mais de là à la vivre dépassait tout, question sensations. Comme hypnotisés, mes yeux ne quittaient pas la menotte experte de mon épouse. Serge geignait de plus en plus bruyamment. Il ondulait du bassin langoureusement. Alors, comme au ralenti, j’ai vu mon épouse se pencher vers le sexe durci et la bouche entrouverte, l’engloutir avec douceur ! Quel fabuleux spectacle ! C’était trop fort, il me fallait me soulager. J’ai, avec difficulté, extirpé de mon pantalon ma bite prête à exploser et me suis caressé. Gourmande, ma femme s’efforçait d’engloutir l’énorme engin de Serge. Avec délices, visiblement, elle l’avalait du mieux qu’elle pouvait. Je le voyais entrer et sortir de sa bouche, de plus en plus gonflé. Je n’en pouvais plus. Elle était courbée, à quatre pattes et comme sa robe fluide la recouvrait à nouveau, Serge d’un geste ample l’a remontée franchement découvrant son petit cul à peine couvert. Puis, pendant que ma garce de femme le pompait avidement, sa main a parcouru en tous sens son splendide derrière. Avec dextérité il a baissé son mini slip et ses doigts se sont immiscés le long de sa raie, la fouillant vicieusement. Les yeux clos, le souffle court, tout en appréciant la caresse buccale qui lui était prodiguée, il s’était davantage étendu pour la doigter plus aisément. Je ne savais plus ou donner des yeux. Pendant un moment, je me suis senti hypnotisé par la grosse tige allant et venant dans la gorge affamée de France, puis je ...